Labels

SUPPORT JULIAN ASSANGE

Thursday, June 4, 2015

VETERANS TODAY-- Dzhokhar Tsarnaev: un innocent de plus envoyé à la potence ?


Publié par Moti Nissani, Veteran Today le 16 Mai 2015



Résumé : tout le monde est d’accord sur le fait que le complot Gladio-Europe était une campagne de terreur menée par le Syndicat du crime, faussement attribuée à des terroristes d’extrême-gauche. En conséquence cela induit que le terrorisme actuel soit également l’œuvre d’un parrainage financier attribué à tort à des Musulmans radicaux et à d’autres. A l’appui de cette hypothèse, le présent article montre 19 caractéristiques générales constituant le terrorisme actuel. Pour faire court, cet article se penche exclusivement sur les hommes de mains les plus puissants de l’Organisation, dudit syndicat : le gouvernement américain, et sur leurs opérations dans un seul pays – les Etats-Unis. Il  illustre chaque élément par un seul acte de terrorisme domestique – les explosions du Marathon de Boston d’avril 2013. En les rassemblant, ces 19 caractéristiques (1) fournissent le cadre théorique du faux terrorisme (2), facilitent l’identification des évènements passés et futurs de faux terrorisme (3), font la lumière sur ce genre d’incidents (4), apportant la preuve quasi-définitive de l’ubiquité du terrorisme d’état aux Etats-Unis et, en plus (5) confirment les soupçons que les explosions de Boston ont été orchestrées par le Syndicat du crime (par le biais principalement de ses avant-postes à Washington D.C.).


« La tragédie des enquêtes historiques : la confirmation d’hypothèses diaboliques par des faits atroces. » Anonyme

« La seule façon pour vous protéger est de connaître la réponse à la question : « Quel est l’objectif ultime que recherchent les familles les plus puissantes qui dirigent en fait les pays et les marchés ? » - Jim Sinclair

« Les gouvernements sont bien plus dangereux que les autres composantes de la société. » - Nicolas Machiavel


Prologue

Hier, 15 mai 2015, Dzhokhar Tsarnaev a été condamné à mort. Cette tragédie m’amène à republier un article que j’ai écrit sur le sujet il y a deux ans. Depuis lors, davantage de preuves ont émergé de l’innocence de Dzhokhar. J’estime toutefois qu’il est important de montrer qu’il était déjà évident en 2013 que Dzhokhar avait été victime d’un coup monté. Donc, mis à part le prologue et le nouveau titre, cette publication est identique à l’original.

 JoeHill

Mais, direz-vous, est-il concevable qu’aux Etats-Unis d’Amérique, des innocents fassent l’objet d’un coup monté, soient emprisonnés et injustement condamnés à mort ? Les exemples qui suivent suggèrent que la réponse à cette question est un OUI retentissant :


-       de nombreux lanceurs d’alerte américains – hommes et femmes – qui ont risqué leurs carrières et leurs vies pour informer le public des crimes de leur gouvernement contre le peuple américain et la Constitution – ont été incarcérés, torturés, condamnés à la clandestinité, ou tués.

-       Le Projet Innocence présente une estimation très prudente : « Nous ne le saurons jamais exactement, mais les quelques études qui ont été réalisées estiment qu’entre 2,3 et 5% de tous les détenus incarcérés aux Etats-Unis sont innocents (pour votre gouverne, si rien qu’1% de tous les détenus sont innocents, cela signifierait qu’il y a plus de 20 000 innocents en prison). » Ceci n’est pas une erreur, mais une caractéristique intrinsèque et délibérée du système.

-       Entre 2001 et 2010, 7,2 millions d’Américains ont été inculpés de « crime », en possession de marijuana. Ce genre d’arrestations n’a rien à voir avec la liberté et le bien-être des Américains, et au contraire, correspond aux profits de l’industrie privée des prisons, au financement des opérations de la CIA et d’autres services gouvernementaux qui gèrent le trafic de drogue, et constitue un prétexte pour incarcérer les gens probablement dans l’objectif de lancer une révolution et habituer les gens à la vie dans « Ce Monde Parfait ».

-       En 1936, Richard Hauptmann, un germano-américain, fut exécuté pour avoir commis le « crime du siècle » soi-disant. Au grand embarras des historiens, Hauptmann « refusa une proposition de dernière minute afin de commuer l’exécution en prison à vie, en échange d’une confession. » Hauptmann n’avait aucun mobile de tuer le bébé Lindbergh, alors que le Gouvernement Invisible avait la capacité et le mobile : le grand-père et homonyme de ce bébé rougeaud était, de 1907 à 1917, l’Ennemi N°1 des Banquiers. En 1917, par exemple, le Représentant Charles August Lindbergh avait eu la témérité d’essayer de faire récuser les membres du Conseil d’administration de la Réserve Fédérale, y compris le tout-puissant Paul Warburg (frère du chef des services secrets de l’empereur d’Allemagne Guillaume II, NdT.)

-       En 1915, Joe Hill, un fervent chanteur/compositeur, militant syndical et combattant inlassable pour la justice, fut victime d’un coup monté et assassiné par son gouvernement pour un crime qu’il n’avait pas commis. Hill expliqua les mobiles des banquiers : « le soussigné Joe Hill, pensaient-ils, un vagabond sans amis, un Suédois, et pire que tout, un membre de l’IWW*, n’avait de toute façon pas le droit de vivre, et a donc été choisi comme bouc émissaire » - En 1927, les militants syndicaux et pacifistes Nicola Sacco et Bartolomeo Vanzetti ont fait l’objet d’un coup monté et furent exécutés. Quiconque fait un minimum de recherches peut découvrir des milliers d’exemples de ce genre, tous montrant que le système judiciaire américain – même à l’époque où les Américains jouissaient d’un minimum de liberté – a toujours été un instrument du Gouvernement Invisible de l’Amérique. Je vous prie de garder ce fait incontestable à l’esprit lorsque vous lirez le récit qui suit.

 SaccoAndVanzetti

*IWW pour Industrial Workers of the World, dont les adhérents étaient appelés les Wobblies, est un syndicat international fondé aux Etats-Unis en 1905, connu pour avoir promu une forme de démocratie en entreprise et une forme d’autogestion.


Introduction

Un mois après les explosions du marathon de Boston en avril 2013, qui avaient été officiellement classées comme des attentats terroristes tuant trois personnes et en blessant des douzaines d’autres, Richard Cottrell, un expert de Gladio-Europe, écrivait :

« Des années 1960 jusqu’aux années 1980, les armées secrètes Gladio de l’OTAN avec leurs complices du crime organisé et les organisations d’extrême-droite, menèrent ce qui a été appelé la « stratégie de la tension » … Cette stratégie était destinée à convaincre les Européens de l’existence d’un « ennemi de l’intérieur » - des cellules dormantes communistes dont le but était de renverser le système en place.

« Aujourd’hui, ce sont les fanatiques musulmans qui sont à l’ordre du jour. Chaque nouvelle atrocité resserre les chaînes pour amener les Américains à la réduction des libertés civiles qui leur sont garanties par la Constitution.

« On vous aura prévenu ».

Des journalistes tels que Richard Cottrell, Gordon Duff, James Fetzer, Stephen Lendman ou Kevin Barrett, insistent sur le fait que la soi-disant « guerre contre le terrorisme » n’est en fait qu’une continuité de Gladio. Ici j’aimerais apporter ma contribution en considérant la conspiration Gladio-Etats-Unis comme un tout.

Gladio se poursuit aujourd’hui dans des douzaines de pays, mais, comme le temps est limité, la présentation qui suit se concentrera sur le bastion-clé des projets machiavéliques des banquiers – les Etats-Unis d’Amérique. La discussion se limitera au terrorisme domestique, même s’il ne représente qu’une simple fraction d’une faction du terrorisme qui atteint le monde entier. Finalement chacune des 19 caractéristiques saillantes du terrorisme d’état seront illustrées par un exemple récent officiellement qualifié d’acte de terrorisme – les explosions du marathon de Boston d’avril 2013.


Lu Iingzi, une citoyenne chinoise de 22 ans et étudiante en statistiques à l’université de Boston, était une des trois victimes de la tragédie de Boston. Les deux autres victimes étaient Martin Richards, un Américain âgé de 8 ans et Krystle Campbell, un gérant de restaurant de 29 ans.

Cet attentat tragique a eu lieu le 15 avril 2013, près de la ligne d’arrivée du marathon de Boston. Le gouvernement affirme que trois personnes ont été tuées et 264 ont été blessées. Le gouvernement a d’abord attribué les explosions à un citoyen saoudien, mais après une réunion impromptue entre l’ambassadeur saoudien aux Etats-Unis, le président, le secrétaire d’état américains, et après que l’épouse du président ait rendu visite au suspect à l’hôpital, les poursuites à son encontre ont été abandonnées et il a été expulsé à la hâte. Le gouvernement s’est ensuite attaché à attribuer ces deux explosions absurdes à deux frères d’origine tchétchène résidant à Boston. Le 18 avril, le frère aîné Tamerlan Tsarnaev était capturé et tué. Un jour plus tard, son frère cadet, Dzhokhar Tsarnaev fut capturé et blessé, mais, au moment où j’écris ces lignes, le gouvernement affirme qu’il se remet bien des blessures graves qu’il a subies.

Tout au long de cet article, le lecteur devrait garder à l’esprit une caractéristique élémentaire des sciences naturelles. En génétique et en astronomie, par exemple, vous avez toujours deux conceptions antagonistes de la réalité. Le matériel héréditaire réside-t-il dans les protéines ou l’ADN ? La terre est-elle plate ou ronde ? Pour résoudre ces questions, vous raisonnez, vous observez et vous faites des expériences.

En progressant, vous vous demandez : cette voie de la logique, du raisonnement, de l’observation et de l’expérimentation est-elle plus cohérente avec la conception traditionnelle ou avec une conception différente ? Avec le temps vous atteignez un niveau où vous devez écarter la conception traditionnelle et adopter la conception alternative (psychologiquement, ce processus est une tâche atroce ; voir le lien ici et ici).

C’est ce que vous aimeriez sans doute faire en prenant connaissance des arguments et des preuves présentés dans ce long article. Passé un certain niveau, le respect de soi et la logique devraient vous guider (si vous n’y êtes pas encore) vers deux conclusions atroces :

  1. Presque toutes les opérations terroristes ayant fait l’objet d’une grande publicité au XXIème siècle sont organisées par le gouvernement
  2.  Les explosions de Boston en particulier sont un exemple incontestable du terrorisme organisé.


1. Les avertissements et prises en compte d’un acte de terrorisme imminent sont ignorés

Les actes terroristes demandent une préparation méticuleuse. Souvent, des gens qui ne sont pas au courant des véritables instigateurs le remarquent et préviennent le gouvernement. Comme on peut s’y attendre dans l’hypothèse Gladio-Etats-Unis (mais pas dans le cas de son rival « Djihadiste »), de tels avertissements sont invariablement ignorés : Al Capone tiendrait-il compte d’un avertissement selon lequel quelqu’un prévoirait de tuer un de ses lieutenants si ce quelqu’un était Al Capone lui-même ?

Nous vivons actuellement dans un pays où des lanceurs d’alerte pacifiques et idéalistes sont incarcérés, torturés, et tenu pour fous ; un pays où par exemple une idéaliste mourante de 73 ans Lynne Stewart est emprisonnée et enchaînée sur son lit d’hôpital parce qu’elle a osé fournir une défense juridique inspirée à un prédicateur musulman aveugle faussement accusé ; un pays où une blague imprudente peut vous valoir la colère de la Tcheka.

Dans ce pays, il y a des dizaines de milliers de citoyens ordinaires respectueux de la loi qui peuvent ou non nourrir des avis dissidents mais qui, sans avoir les moyens d’accéder à un juge ou un jury, sans procès, sans explications, sans avertissement préalable, se retrouvent dans des aéroports américains et s’entendent dire que leur nom figure sur une liste secrète, arbitraire et typiquement orwellienne d’interdits de vol. La liste comprend des terroristes tels que Mikey Hicks, un garçon de 8 ans du New Jersey qui prenait souvent l’avion et qui « était rarement monté à bord d’un avion sans appréhension parce qu’il porte un homonyme d’une personne suspecte. »

Des dizaines de millions d’autres sont harcelés de façon impitoyable, irradiés, physiquement maltraités et humiliés avant de monter à bord d’un avion. Si ces passagers ont un nom à consonance  arabe, ou si ce sont des hommes, femmes ou enfants qui montrent leur désaccord avec ces abus du gouvernement, c’est d’autant plus le cas. Tous ces harcèlements, sachez-le, se produisent souvent sur la base des preuves les plus ténues, ou sans preuves du tout.

Donc vous devriez voir les escadrons de la mort (c.à.d. le FBI) jaillir avec leurs gilets pare-balles s’ils sont informés par des sources fiables que quelqu’un se prépare à faire sauter un avion ou deux. Et pourtant, il est rare qu’ils réagissent.

A Boston, les avertissements concernant Tamerlan Tsarnaev sont arrivés rapidement et massivement, y compris deux rappels de la part des Russes :

« Selon des officiels américains, ils ont été avertis à deux reprises par la Russie qu’ils avaient été liés à des militants caucasiens. En 2011, des officiels de la sécurité russe demandèrent aux Etats-Unis d’enquêter sur les activités de Tamerlan. Le FBI avait mené une brève enquête de routine et refermé le dossier, ce qui avait incité les officiels de la sécurité russe à renouveler leur demande quatre mois plus tard en septembre 2011. Tamerlan était en fait surveillé par les services secrets russes à chacune de ses visites dans la Fédération de Russie. »

La théocratie saoudienne, et même la CIA, avaient également lancé des avertissements. La dictature saoudienne pratiquait ce qu’elle prêchait et avait « refusé un visa d’entrée à l’aîné des frères Tsarnaev en décembre 2011, alors qu’il comptait faire un pèlerinage à La Mecque. »

Janet Napolitano a refusé de répondre aux questions concernant l’expulsion d’un citoyen saoudien après les attentats à la bombe de Boston (18 avril 2013)


Par voie de conséquence, toute la famille était sous surveillance :

« A peu près 18 mois avant les explosions de Boston, la CIA ajouta la mère des deux suspects à une base de données de suspects après que les autorités russes aient eu confirmation qu’elle et son fils aîné étaient des militants religieux. »

La photo et la légende ci-jointes de Napolitano ont été reprises par les grands médias :

« Etait-elle au courant ? Janet Napolitano … est à la tête du Département de la Sécurité,  ministère de l’intérieur (Homeland Security), le service qui a apparemment reçu une lettre détaillée de la part du Royaume saoudien à propos de Tsarnaev. »

          Janet Napolitano, la 3ème directrice de la Homeland Security, créée après les attentats du 11 septembre 2001.

Malgré les avertissements, les apprentis « terroristes » de Boston étaient apparemment exemptés des harcèlements réservés au reste d’entre nous. Feu Tamerlan Tsarnaev, en particulier, était un musulman, un adepte des arts martiaux, un non-citoyen, et l’objet de multiples avertissements, et de façon générale, un individu hautement suspect, si nous prenons plusieurs gouvernements au pied de la lettre. Pourtant, à la différence de nous tous, ce déclencheur potentiel des cocotte-minute de Boston n’a jamais été inquiété. On l’a autorisé à quitter les Etats-Unis en avion, à assister à une conférence militante en Russie parrainée par la CIA, et à revenir en Amérique – sans poser de questions.

J’ai passé en revue les deux excuses pour cette apparente faille de sécurité.

La première est « l’excuse éculée et toujours répétée de ne pas avoir réussi à faire le lien entre les indices ».

La deuxième a été émise par le bras droit en chef :

« Eh bien, le FBI les a surveillés, mais le FBI ne peut arrêter quelqu’un sur la base d’une simple rumeur, c’est notre système judiciaire qui veut cela. »

Cette dernière excuse est encore pire que la première, étant donné que notre Constitution a été renversée en 2001. Notre système interdit la torture, et pourtant les employés du FBI pratiquent la torture tous les jours, à grande échelle et partout, y compris à l’encontre de millions de détenus américains. Notre système promet la liberté de parole, pourtant il contrôle les principales sources d’information de la population, essaie de s’emparer des derniers forums de libre expression qui restent (les universités et internet), et torture ou exécute ceux qui utilisent la liberté de parole pour contribuer à sauver le monde de l’esclavage et de la destruction de l’environnement. En théorie, notre système interdit la corruption, le vol, la brutalité policière – et pourtant tout cela et bien d’autres choses se passent en plein jour.

Je laisserai au lecteur le soin de décider si ce genre d’inaction face à des avertissements réitérés est plus cohérent avec la version des évènements fournie par le gouvernement ou avec sa version alternative emballée en « papier alu ».


2. L’organisation fait preuve d’une efficacité suspecte éclatante dans l’identification et l’arrestation des terroristes.

Le Syndicat sait invariablement qui sont les auteurs des actes de terrorisme en l’espace de quelques jours et fait preuve d’une réussite stupéfiante dans leur capture ou leur assassinat.

Ce palmarès impeccable défie l’entendement. Pour le constater, mettez-vous en retrait, et réfléchissez un peu : si vous étiez assez pervers pour envisager le meurtre, disons, d’un garçon américain, du gérant d’un restaurant américain et d’une statisticienne chinoise, et si vous vouliez blesser plusieurs centaines d’Américains et des étrangers, vous ne pourriez pas le faire sans vous faire prendre quelques jours après ? N’est-ce pas une hypothèse habituelle des romans policiers et des meilleures équipes de police qu’il faille parfois des mois ou des années pour trouver le coupable ? Sherlock Holmes aurait-il déjà résolu un crime en trois jours ?

Ce record avec tous les superlatifs va également à l’encontre du palmarès général des arrestations :

  1. Lorsqu’il s’agit d’identifier les assassins des amis de l’humanité ; les banquiers oublient systématiquement de constater qu’un crime a été commis, échouent à identifier les criminels, ou se trompent sur leur identité. Nous mettrons de côté ici l’inefficacité des banquiers à remarquer leurs propres crimes financiers gigantesques (cela, par exemple), ou les énormes opérations de blanchiment d’argent de la drogue, qui détournent notre attention de la mort de gens qu’ils considèrent comme embarrassant mais influents. A ce jour, les banquiers n’ont toujours pas expliqué les décès prématurés de nombreux grévistes syndiqués et de citoyens noirs ; de l’antifasciste, influent et unique Major-General Smedley Butler à l’âge de 58 ans, de l’ennemi de la Réserve Fédérale (c'est-à-dire celui des Rothschild, Rockefeller, et autres familles associées) le Représentant Charles August Lindbergh Sr, à 65 ans ; de son petit-fils Charles August Lindbergh Jr (le « crime du siècle ») âgé de 20 mois ; de l’ennemi de la Réserve Fédérale et puissant Représentant Louis Mac Fadden à 60 ans (la troisième tentative non résolue a finalement réussi) ; l’opposant à la néo-colonisation de l’Irak et Ranger de l’armée et ex-footballeur Pat Tillman à 24 ans ; de l’accusatrice des banquiers en herbe Deborah Jeane Palfrey à 52 ans ; du journaliste de « Dark Alliance » Gary Webb à 49 ans ; du journaliste d’investigation financière Mark Pittman à 52 ans ; du journaliste, Némésis des généraux du Pentagone et de la CIA, Michael Hastings à 33 ans ; de la Némésis de David Rockefeller, le producteur Aaron Russo à 64 ans ; du chef syndicaliste Walter Reuther, à 62 ans (à la suite d’au moins deux autres tentatives non résolues) ; du journaliste et candidat-sénateur John Fitzgerald Kennedy Jr à 38 ans ; du militant contre la pauvreté et la guerre Martin Luther King à 39 ans ; du Sénateur pacifique Paul Wellstone à 58 ans, du chanteur de folk pacifiste Phil Ochs à 35 ans (après deux tentatives précédentes non résolues) ; du chanteur pacifiste jamaïcain Bob Marley à 36 ans – et de milliers d’autres meurtres non résolus de nos héros. Et ce n’est pas parce que les escadrons de la mort (du FBI, de la CIA, de la DIA et leurs douzaines de consœurs) ont été surpris par ces décès. Au contraire, la plupart de ces victimes étaient surveillées et possédaient un fichier bien rempli auprès de ces administrations avant leur mort prématurée.

B.  Les banquiers redoutent les révolutionnaires désintéressés comme Thomas Payne, Che Guevara ou Malcolm X,les obligeant à se cacher ou à demander l’asile dans un pays non encore parasité. Bien que ces idéalistes, à la grande différence des terroristes dûment labellisés, ne représentent que des menaces mineures pour le règne des banquiers, et bien que les banquiers attendent impatiemment de voir leur sang versé, beaucoup de ces révolutionnaires réussissent à disparaître sans laisser de traces ou à s’échapper vers un pays d’où le Syndicat du crime est absent.

Une affaire récente publiée dans les journaux illustre ce point : Assata Shakur,  membre de l’Armée de Libération noire, figure sur la liste des personnes les plus recherchées par les banquiers. Elle avait fait l’objet d’un coup monté en 1973, a été condamnée à la prison en 1977, s’en est échappée et a disparu en 1979, avant de rejoindre Cuba en 1984 où elle vit toujours (ainsi que 70 autres fugitifs américains). Même si les banquiers ont offert 2 millions de $ sans valeur pour les remettre au judas qui la trahirait, Assata « affiche sa liberté », continue de militer, et incite les partisans et les groupes à se mobiliser contre les Etats-Unis par tous les moyens nécessaires. Les banquiers ont beau bouillir de colère et avoir la bave aux lèvres, ils ont été incapables de mettre leurs doigts poisseux sur elle.

  1. Troisièmement, et encore plus évidents, sont les crimes de droit commun. Eux aussi, par contraste avec les prétendus actes terroristes, restent souvent non résolus.
A Boston, il n’a fallu que quatre jours ou moins pour attribuer les explosions à un citoyen saoudien, revenir dessus, et arriver à une nouvelle identification positive, puis tuer un des nouveaux suspects (Tamerlan Tsarnaev) le blesser par balle et l’égorger et tenter d’assassiner l’autre (Dzhokhar Tsarnaev).



3. Pas de projet de fuite

Un autre indice est relatif aux terroristes eux-mêmes. Parce que le terrorisme est une activité particulièrement risquée, un terroriste fait tout pour éviter d’être pris, naturellement. Avant de commettre des meurtres mal ciblés, il aurait eu un plan préalable de fuite. Le monde est vaste et, comme nous venons de le voir, il est possible de disparaître sans laisser de trace. Il se cacherait pendant une année ou deux, s’assurerait que la voie est libre, changerait d’apparence, commencerait une nouvelle vie – ou préparerait son prochain coup.

Nous ne parlons pas ici de la théorie de la relativité, mais du bon sens le plus élémentaire : il élabore un plan de fuite, pose les bombes et s’enfuit – de préférence bien avant qu’elles n’explosent. Et pourtant, les terroristes les plus notoires ne le font jamais. Ces pauvres bougres se tuent eux-mêmes, se font prendre, et en général ne se comportent pas comme le bon sens le suggère.

A Boston non plus, les « terroristes » n’ont pas essayé de fuir, jusqu’à ce qu’à leur grande surprise ils soient choqués de constater qu’on les recherchait pour meurtre. En fait, le plus jeune frère, qui était pourtant assez intelligent pour obtenir une bourse de l’Université du Massachussetts, était apparemment trop bête pour tout abandonner et s’enfuir. Au cours des trois jours entre l’explosion et sa capture il est apparu détendu, épuisé, a fait la fête et suivi les cours.


4. Pas de déguisements

Dans le but d’éviter l’arrestation et le châtiment, il est notoire que les criminels et les révolutionnaires prennent fréquemment une identité ou une apparence très différente de la leur. Si vous alliez préparer des assassinats, ne souhaiteriez-vous pas minimiser les chances d’être rattrapé, tabassé, subir le supplice de la baignoire, croupir dans une cellule isolée pendant des années, gavé de médicaments psychotropes, et contraint à une servilité dégradante ?

Sherlock Holmes, par exemple, était un maître du déguisement. Même le bon Dr. Watson n’était pas capable de reconnaître son partenaire cocaïnomane lorsque Holmes recourait à ses déguisements par les habits, la démarche, l’allure, la voix, la perruque ou la teinture des cheveux. Tiens en parlant de Boston, les terroristes à l’origine du Tea Party n’ont-ils pas ressenti le besoin de dissimuler leurs identités, bien avant l’ère des caméras de surveillance, des ordinateurs, et du flic à chaque coin de rue ?

Juste au cas où vous penseriez que les déguisements appartiennent à la littérature romanesque ou ne sont que des reliques du passé, laissez-moi vous citer quelques exemples contemporains. Alors que j’écrivais ces lignes, je suis tombé sur l’histoire d’un agent d’un escadron de la mort (de la CIA en l’occurrence) qui essayait de recruter un officier des services de renseignement russes. Par une de ces étranges conventions de notre sinistre monde, cet agent, précédemment diplomate à Moscou, ne risquait que l’humiliation, l’expulsion et la réaffectation, pas sa carrière ou sa vie. Pourtant il était pourvu de tout l’arsenal du parfait espion avec perruques et lunettes.

Au contraire, les « terroristes » de Gladio-Etats-Unis se soucient rarement de modifier leur apparence physique. Nous devons donc en conclure que tous les terroristes sélectionnés par le Syndicat sont suicidaires, stupides – ou des boucs émissaires.

A Boston, en particulier, les deux frères n’ont fait aucun effort pour se déguiser, avant, pendant ou après les explosions.

5. Manipuler la scène de crime et les preuves

Les auteurs de chaque incident particulier de la Conspiration de Gladio-Etats-Unis contrôlent la scène de crime et les preuves, et sont donc bien placés pour qu’elles correspondent au schéma prédéterminé du scénario fictif.

Ce point est si évident, que l’exemple de Boston devrait suffire. L’autopsie de Tamerlan a été faite par des agents du Syndicat, permettant ainsi au gouvernement, à l’organisation d’arriver aux conclusions qui correspondaient le mieux à leurs intérêts.


6. Réaction quasi-militaire disproportionnée à la terreur autoproclamée

Une fois que les marionnettes des banquiers qualifient une tragédie de « terrorisme », la réaction physique sur le terrain est hors de proportion avec l’importance de l’incident et les risques encourus par le public. Par conséquent, il faut en déduire que le but d’un tel déploiement de force n’est pas de protéger le public ou de capturer des criminels. L’objectif, consiste plutôt à réduire le nombre de témoins oculaires sur ce qui se passe, manipuler la scène de crime, et fournir un prétexte pour contourner le Deuxième Amendement (lequel amendement et un des rares garde-fous restants qui nous sépare de l’emprise du pouvoir fasciste), amener les Américains à se terrer devant une telle démonstration de force brutale, leur faire oublier que personne n’est à l’abri, et les habituer à la brutalité et au hooliganisme, et forcer « les gens à se tourner vers l’état pour demander davantage de sécurité. »

Paul Craig Roberts :

« Cette réaction concernant Boston, je veux dire qu’il était absurde de déployer 10 000 hommes et des chars pour retrouver un jeune homme de 19 ans. De bloquer toute une zone urbaine, une de nos villes principales, parce qu’ils cherchaient un jeune gars ? »

John Whitehead :

« Pour ceux qui comme moi ont étudié l’émergence d’états policiers, la vision d’une ville contrainte à la loi martiale –leurs  citoyens en résidence surveillée (les officiels utilisaient la phrase d’Orwell d’ « abrité sur place » pour décrire l’interdiction de sortir de chez soi), des hélicoptères militarisés équipés de caméras thermiques bourdonnant dans le ciel, des chars et des véhicules blindés dans les rues, des tireurs d’élite sur les toits, et des équipes d’intervention en uniforme faisant des perquisitions de domiciles … à la recherche de deux jeunes et improbables poseurs de bombes – nous laisse une impression de malaise grandissant.
« Sachez que ce ne sont plus seulement des indices avant-coureurs d’un état policier qui gagne sans cesse du terrain. L’état policier est là … En fait, nous les avons laissé faire, que nous en sommes réduits, transformés en esclaves à la merci d’un gouvernement qui se soucie comme d’une guigne de nos libertés et de notre bonheur. »


7. Empêcher les « terroristes » d’avoir l’occasion de se défendre de manière pertinente

Dans les cas de « terrorisme » de haut niveau (« haut niveau » non pas à cause du caractère exceptionnel des crimes commis mais parce qu’ils ont été estampillés comme tels par le Syndicat et qu’il a utilisé les médias pour susciter dans l’audience, un paroxysme de peur, de confusion et de colère). Ceux qui sont à la télévision se rappellent vaguement les jours où les accusés avaient parfois la possibilité de se défendre. Avec Gladio-Etats-Unis, étant donné que l’accusé est typiquement « un pigeon », le Syndicat se retrouve devant un dilemme désagréable : soit de perdre la face en piétinant ce qui reste des règles judiciaires ou de risquer d’être embarrassé en laissant « le pigeon » raconter sa version de l’histoire. La solution : vous le réduisez au silence, afin que sa version ne soit jamais connue. Vous l’empêchez d’exercer sa liberté de parole ; vous l’incarcérez définitivement sans jugement ; vous le torturez et l’humiliez et le droguez ; puis vous « classez » le jugement lui-même ; vous lui déniez un procès civil ou de passer devant un jury au Tribunal – ou n’importe quel procès. Si rien ne marche, il vous reste les recettes éprouvées des techniques de suicide ou de meurtre.

En bref, vous déniez à vos jobards le droit de se défendre, et déniez au public le droit d’entendre leur version des faits. Depuis le tout début, cela indique la culpabilité du Syndicat. Si l’accusé était coupable, ne serait-il pas dans l’intérêt du Syndicat de laisser son témoignage réfuter des millions de « théoriciens de la conspiration ? » Si les rapports officiels sur Ben Laden n’étaient pas un conte de fée, ne serait-il pas dans l’intérêt du Syndicat d’obtenir des aveux ou de le faire condamner par un jury au Tribunal avec les siens au lieu de faire semblant de le tuer et de jeter son corps à la mer ? Le paradoxe, l’Etat d’Israël n’a-t-il pas fourni un maximum de publicité au procès d’Adolf Eichmann, lui permettant de se défendre du mieux qu’il pouvait ? Lorsque l’accusé est coupable, le Syndicat n’a rien à redouter et beaucoup à gagner dans un procès équitable. Lorsque l’accusé est innocent, un procès équitable ne peut que causer une migraine indésirable (bien que bénigne).

Boston rentre parfaitement dans ce schéma.

Tamerlan a probablement été capturé vivant, déshabillé inutilement, exécuté – et réduit au silence pour toujours.

Les hommes de main du Syndicat du crime ont probablement essayé de tuer également le plus jeune frère désarmé, mais il a miraculeusement survécu. Selon un membre de l’escadron de la mort (SWAT) qui a assisté à la scène, on a tranché la gorge de Dzhokhar, ce qui a fait dire au responsable israélien (juste une autre coïncidence évidemment) de l’hôpital où il a été torturé que Dzhokhar « ne pourrait peut-être jamais plus parler ». C’est vrai, une personne muette peut toujours encore se défendre, mais pas aussi facilement ni aussi bien. (Quelques semaines plus tard, contre tous les pronostics, Dzhokhar avait apparemment retrouvé la parole).

Après son arrestation, ce jeune homme de 19 ans avait :

« subi un interrogatoire illégal (inconstitutionnel) de 16 heures par une équipe d’investigation musclée du FBI … tout cela pendant qu’il était hospitalisé dans un état sérieux, sous sédatifs et enchaîné à son lit, bien que l’on ait refusé tout net d’accéder à ses demandes multiples de voir un avocat. »

En parlant de l’exécution de Tamerlan, de la tentative de meurtre de son autre fils, Dzhokhar, et de l’exécution par une balle à l’arrière de la tête de l’ami de Tamerlan, Todashev (même l’ACLU cooptée s’est sentie obligée de « vérifier le cas »), la mère accablée de chagrin de Tamerlan et Dzhokhar a posé la question que chaque Américain, et certainement chaque journaliste couvrant l’affaire, aurait dû se poser :
« Voilà un autre garçon qui y a laissé la vie. Pourquoi tuent-ils ces enfants sans qu’il n’y ait ni procès ni enquête ? »

Il existe d’autres manières de dénier à des gens innocents leur droit de se défendre. Certes, le Syndicat avait assez d’argent pour mettre 9000 flics sur le terrain ainsi qu’un nombre non précisé de « soldats des forces spéciales en vacation », mais les médias de Rockefeller nous annoncent :

« Des restrictions budgétaires pourraient retarder le procès du « Poseur de Bombes de Boston » : Ceux chargés de la défense du suspect de l’attentat à la bombe du Marathon de Boston pourraient être « gravement affectés » par les restrictions budgétaires fédérales, occasionnant des retards supplémentaires dans la tenue de son éventuel procès, selon des officiels des tribunaux fédéraux. » Et il ne s’agit pas de coupes budgétaires généralisées, vous comprenez : « Bien que le ministère public et le procureur instruisant l’affaire soient des employés fédéraux, seuls les avocats de la défense seront touchés par les retards. »

Pour autant que je puisse le dire, ceci ne serait pas une plaisanterie. Si ce genre de requête incongrue a bien été faite, l’explication la plus probable est la suivante : ils avaient besoin du retard pour être sûrs – en rendant fou ou en détruisant la mémoire de Dzhokhar avec la drogue et la torture, en lui faisant un lavage de cerveau, en le menaçant de prison ou de la mort d’un membre de la famille, ou simplement en le « suicidant » - afin qu’il n’ait jamais la chance de raconter sa version des faits.

Et qu’en est-il des multiples aveux bizarres, passés et présents, de Dzhokhar, me direz-vous ? Dans l’hypothèse peu probable que de tels aveux aient jamais existé, y croire n’est qu’un autre exemple de l’aphorisme de Bertrand Russel « il n’existe pas d’absurdité assez flagrante qui ne puisse être crédible à la grande majorité par une action gouvernementale adéquate ». Comme Arthur Koestler l’a montré dans son Darkness at Noon (« L’obscurité à midi », paru en France sous le titre Le Zéro et l’Infini, NdT.), et comme tout interrogateur professionnel le sait, sous la torture sans limite, on peut faire avouer n’importe quoi à n’importe qui. Traquez Evelyn Rothschild avec 9000 béni-oui-oui lourdement armés, tranchez-lui la gorge, et soumettez-le à un interrogatoire de 16 heures agrémenté de torture physique et mentale. Dans ce cas, je peux vous assurer que ledit Rothschild ne reconnaîtra pas seulement qu’il a été à l’origine d’un chaos mondial, de millions de morts, de millions de gens mourants de faim, du cataclysme environnemental, mais aussi d’avoir assassiné Mayer Amschel Rothschild, le fondateur de la dynastie qui est mort bien avant la naissance d’Evelyn (et dont la façon draconienne d’élever ses enfants emprisonne ses malheureux descendants jusqu’à ce jour).

Le cas de Dzhokhar est encore récent, mais il y a tout lieu de penser que cet adolescent – qui a déjà été jugé et reconnu coupable devant le tribunal de l’opinion contrôlé par les banquiers – n’aura jamais une chance se défendre contre ses accusateurs machiavéliques, pendant qu’il est toujours sain de corps et d’esprit.


8. Présumé coupable

Il existe une règle de base en matière de justice pénale : vous êtes présumé innocent jusqu’à ce que vous soyez reconnu coupable. Il est de notoriété publique que tous les policiers, procureurs et juges sont faillibles, que beaucoup sont corrompus, et que d’innombrables innocents ont passé des décennies derrière les barreaux. Et pourtant, quand il s’agit de terrorisme monté en épingle, les politiciens à la solde du conglomérat privé et des médias présument de la culpabilité dans un concert d’unanimité hystérique.

A Boston,
« Le principe dominant voudrait qu’on accorde à Dzhokhar Tsarnaev la présomption d’innocence jusqu’à ce que sa culpabilité soit prouvée. Comme de nombreux cas l’ont montré – depuis l’agresseur à l’anthrax accusé (mais disculpé) Stephen Hatfill jusqu’au poseur de bombe des Jeux Olympiques d’Atlanta accusé (mais disculpé) Richard Jewell, en passant par des douzaines voire des centaines de détenus de Guantanamo accusés d’être « les pires d’entre les pires » mais qui n’étaient coupables de rien – les individus qui apparaissent comme coupables sur la base d’accusations gouvernementales et de procès par médias interposés sont souvent complètement innocents. Des preuves présentées par les médias ne sauraient remplacer un véritable procès et une procédure juridique contradictoire.

9. Diaboliser les suspects 

La police et les médias à la solde des Rockefeller s’empressent d’accuser les auteurs présumés du terrorisme factice, en sélectionnant des photos qui leur donnent un air négligé et grossier.

Deux exemples parmi d’autres suffiront à illustrer ce point évident dans l’affaire de Boston.

  1. Les médias sous contrôle (répétant ce que disait la police) ont d’abord accusé les deux frères d’être des criminels de droit commun et d’avoir braqué un magasin de proximité, ne retirant cette histoire que sur l’insistance d’un brave (ou naïf) directeur de communication de la chaîne de magasins qui s’était donné la peine de regarder la vidéo de surveillance du braquage.

  1. La police et les médias essayaient également d’impliquer les deux frères et Todashev dans un précédent meurtre atroce et sans relation avec eux, un exemple extrême de l’une des tactiques favorites des Rockefeller : la provocation au scandale (pour reprendre la phrase d’Upton Sinclair de 1919). 



10. La frénésie médiatique

Une fois qu’un incident a été estampillé TERRORISTE, il bénéficie d’une couverture médiatique massive, incessante et hystérique par les médias des banquiers, totalement hors de proportion avec ce qui s’est réellement passé.

Cette généralisation est trop évidente pour être documentée. Même dans les pays étrangers, le terrorisme aux Etats-Unis fait l’objet d’une couverture désagréable comme si des vies américaines étaient plus importantes que les vies des citoyens de ces pays. Pour vous en convaincre, lors du prochain acte de « terrorisme », allumez votre TV (si vous n’avez pas encore atteint le point de la mettre à la poubelle), lisez les gros titres d’un grand journal en descendant la rue (mais s’il vous plaît ne l’achetez pas), ou écoutez la radio de votre voisin dans l’appartement du dessus. Ou mieux encore, restez complètement à l’écart de tout ce bazar : des conversations avec des amis et des parents perspicaces suffiront amplement.


11. Les médias privés font une représentation déformée de tous les actes terroristes, s’entendent pour étouffer toutes les voix dissidentes et considèrent les déclarations officielles comme parole d’évangile.

Cette généralisation est une autre manière de dire que le journalisme d’investigation en Amérique n’est plus qu’un souvenir et que les médias ne sont plus que des porte-paroles du Syndicat. Même si des historiens et des économistes indépendants ont documenté des milliers de mensonges gouvernementaux, de désinformations, et d’approximations, et même si chaque acte de « terrorisme » est enveloppé d’un tissu de mensonges et de contrevérités indiscutables, les médias continuent à se comporter comme si la dernière déclaration en date du gouvernement était la pure vérité.

De fait, les principaux médias Américains servent de courroie de transmission entre le Syndicat du crime et le peuple, communiquant une propagande grossière, des mensonges, des demi-vérités et des divertissements. Nous n’avons plus de journalistes (à l’exception de nombreux bloggeurs remarquables sur internet), mais seulement des garçons de course. 

(Selon un rapport circulant au Kremlin, le 1er avril 2013, la Maison Blanche a affirmé que le 31 mars le soleil avait refusé de briller. Comme on pouvait s’y attendre à la lecture de ce triste récit, tous les médias ont relayé le message – et plus de 90% des citoyens y ont cru.)

Comme nous l’avons vu dans la deuxième partie de cet essai en six parties, « la presstitution » était déjà envahissante en 1919. Les conclusions de Sinclair ont été documentées de manière répétée (probablement avant même qu’il n’écrive son livre) et mises à jour, le plus remarquablement sans doute par Michael Parenti et Ben Bagdikian. J’ai moi aussi eu le plaisir douteux d’écrire des critiques savantes sur la couverture médiatique de l’effet de serre et la Guerre Froide, et contraint d’arriver aux mêmes conclusions.

Lors de mes recherches concernant les explosions de Boston, j’ai n’ai recueilli que quelques faits isolés dans les médias privés. A peu près tout ce que contient cette présente publication, y compris l’amas considérable de faits indiscutables et de brillantes déductions, y compris tous les efforts pour relier les éléments entre eux, proviennent de sources alternatives. 

Ou prenez Stella Tremblay, membre de la Chambre des Représentants du New Hampshire, qui prétendait que le Gouvernement Fédéral avait planifié les explosions de Boston. Jim Fetzer cite la demande naïve que Tremblay a adressée aux médias :
« Pourquoi laissez-vous à une députée stupide le soin de poser les questions alors que c’est le travail des journalistes ? Etes-vous à ce point aveugle que vous ne souhaitiez pas poser de questions à votre gouvernement ? »

En effet, la seule réaction des médias et ses collègues à cette représentante courageuse du corps législatif a été un silence assourdissant. Dans les rares occasions où on la citait, c’était pour «la mettre au pilori et la rabaisser».

Mark Twain observait avec solennité (et son auditoire pensait qu’il plaisantait !) :
« C’est par la bonté divine que nous ont été octroyés trois éléments précieux et incroyables : la liberté d’expression, la liberté de conscience, et la prudence de ne jamais en pratiquer aucune. »

Stella a découvert le prix de son imprudence. A la mi-juin elle a vendu sa maison. Le 19 juin 2013, « elle a envoyé un courriel aux 424 membres de la Chambre des députés pour réitérer ses affirmations et suggérer un accroissement des enquêtes sur les attentats d’avril. » Le 20 juin, elle démissionnait. Le pire, je pense, est à venir.


12. Réduire les témoins au silence

Il est inévitable dans les cas de terrorisme sous faux pavillon, que des individus – en plus des pigeons eux-mêmes – soient réduits au silence. Après tout, la plupart des agents du MI6, du Mossad ou du FBI agissent avec l’idée corrompue que ce qu’ils font est pour le bien. Lorsque des gens de ce genre découvrent qu’ils se sont fait avoir, ils se retrouvent devant un choix cornélien : garder le silence et obtenir un sursis temporaire ou permanent d’exécution, ou bien dire la vérité, voir leur témoignage bloqué par les médias du Syndicat du crime et être exécutés. Il est à porter au crédit de l’humanité qu’il y ait eu quelques personnes prêtes à sacrifier leurs vies pour la vérité, la liberté, la justice, la paix, le bien-être et la survie à long terme de l’humanité. Par conséquent, la plupart des attentats de Gladio-Etats-Unis sont accompagnés de blessés, de témoins morts prématurément, qui sont au courant.

Pour le moment, dans l’affaire de Boston qui a trois mois, le nombre de victimes est modeste :

 A candidate for a post-revolutionary justice tribunal:  Robert Mueller was acting director of the FBI while the Boston Gladio episode was unfolding

Un candidat à un tribunal de justice postrévolutionnaire : Robert Mueller était le directeur en fonction du FBI lors du déroulement de l’épisode Gladio de Boston

  1. Le 22 mai 2013, à Orlando, en Floride, la police avait interrogé une connaissance de Tamerlan, Ibragim Todashev et l’avait exécuté ; il avait dit à un ami qu’ils allaient le tuer, mais même cet homme désarmé ne pouvait prévoir qu’on allait lui tirer dessus « SEPT fois au cours de l’interrogatoire – y compris une fois à l’arrière du crâne. »

Quel est donc le crime qu’avait commis Todashev ?

« Il ne croyait pas que les Tsarnaev avaient fait cela. Il avait dit qu’ils avaient été victimes d’un coup monté. C’étaient ses mots exacts. »

Parfois cela prend du temps pour que les étrangers voient l’Amérique telle qu’elle est devenue : « J’ai quelques questions pour les Américains », dit Zaurbek Sadakhanov, un avocat qui travaillait avec la famille Todashev ainsi qu’avec celle de M. Tsarnaev et son frère Dzhokhar, l’autre suspect des attentats à la bombe de Boston :

« Pourquoi (Ibragim) a-t-il été interrogé pour la troisième fois sans la présence d’un avocat ? Pourquoi l’interrogatoire d’Ibragim n’a-t-il pas été enregistré en audio ou vidéo étant donné qu’il a été interrogé sans la présence d’un avocat ? Pourquoi a-t-il fallu lui tirer dessus à sept reprises, alors que cinq policiers étaient équipés de pistolets paralysants … Nous ne saurons jamais si Ibragim Todashev et Tamerlan Tsarnaev étaient des criminels parce que l’enquête s’est terminée par leur décès. Si c’est ce qui se passe dans la démocratie américaine, je suis absolument opposé à l’exportation de cette démocratie en Russie. »

David Martin fournit un excellent résumé de l’assassinat de Todashev.


      B.  Il serait difficile de réduire directement au silence la mère au franc-parler de Tamerlan et Dzhokhar, étant donné le deuil outrageant qu’elle a subi et le fait qu’elle était en Russie lors de la tragédie, mais il y a des manières indirectes de museler presque tout le monde. Ce fut par hasard, voyez-vous, qu’en mai 2013 « la sœur de Dzhokhar et Tamerlan Tsarnaev se retrouva sous le coup d’une accusations pour trafic de drogue dans le New Jersey ». Une autre coïncidence ? A-t-elle été arrêtée afin que Dzhokhar, qui est apparemment un adolescent au cœur en or, fasse de faux aveux pour qu’elle soit relâchée ? Ou la cible était-elle la mère qui se retrouvait devant le « choix de Sophie » : la vie de sa fille ou celle de son fils ?


     C.  Trois jours après l’attentat à la bombe, un officier de l’académie de police, Sean   Collier, fut victime d’un tir fatal. Comme dans l’assassinat de JFK, dit Russ Baker, c’est le « meurtre d’un officier de police qui dopa les poursuites policières, et ceci, une fois que le suspect fut appréhendé, persuada le public qu’ils tenaient leur homme … le meurtre d’un officier de police n’avait pas beaucoup de sens dans le contexte de « l’évènement principal », mais il suffit à donner une poussée d’adrénaline aux poursuites judiciaires. Ce n’est que plus tard que des détails cruciaux du scénario ont été modifiés, alors que personne n’y prêtait plus attention … Dans le cas de l’officier Collier, si nous regardons de près, nous pouvons nous apercevoir que le scénario a été réécrit après que la plupart des gens aient cessé d’y porter leur attention. Les premières informations donnaient l’impression que Collier avait eu une quelconque relation avec ses tueurs.

D. Et le chapitre du scénario officiel, dans ce monde aux miroirs déformants qu’est le nôtre, devient de plus en plus étrange. Un des premiers policiers à arriver sur la scène du crime où Sean Collier a été mystérieusement tué en service, Richard Donohue, était lui-même un ami proche de Collier.

« Quelques heures plus tard, il allait être grièvement blessé dans l’échange de coups de feu de Watertown avec les frères Tsarnaev. » Russ Baker remarqua à propos de cette coïncidence : « Quelle coïncidence ? De tous les policiers qui auraient pu être blessés à Watertown, le seul à l’avoir été est Donohue. »

« Et ce n’est pas fini … Nous avons appris plus tard que Donohue n’avait pas été atteint par les Tsarnaev mais par une balle perdue. (Ici il semble que nous rejouons, point par point, l’assassinat de Pat Tillman). Mieux, un des premiers témoins de la scène où l’officier Collier a été abattu fut lui-même victime d’une étrange fusillade, de la part de collègues policiers.

« Donohue a survécu, et selon le Boston Globe du 19 mai, il ne dit rien sur cette nuit- là parce qu’il … ne peut pas »

« L’officier Richard ‘Dic’ Donohue de la MBTA ne se rappelle quasiment rien de la nuit où il a été blessé par balles au cours de la fusillade chaotique qui a eu lieu dans le quartier habituellement tranquille de Watertown street, ou du meurtre de son ami proche, l’officier du MIT Sean Collier, quelques heures plus tôt à Cambridge. »


  1. Le 17 mai 2013, deux membres de l’unité d’élite antiterroriste du FBI « tombèrent » de leur hélicoptère au cours d’un exercice d’entraînement. Le lecteur perspicace ne sera pas surpris d’apprendre que ces deux hommes appartenaient à l’équipe qui « était impliquée dans l’arrestation de Dzhokhar Tsarnaev. »

Ce dernier épisode d’une chute dans la mer depuis un aéronef appelle quatre  commentaires brefs :

J’ai été impliqué dans des exercices similaires, et je n’ai entendu parler que d’un seul incident de ce genre concernant une seule personne. Donc je peux vous assurer que dans le cas de professionnels, ces accidents sont hautement improbables.

Un petit conseil amical pour les membres survivants de cette unité antiterroriste : si vous avez de la chance, le meurtre de deux de vos collègues, est destiné à vous convaincre que le silence est votre meilleure garantie de survie. Même si vous ne dites rien, du point de vue du Syndicat du crime, vous êtes une arme en liberté et chargée. Ils ont un permis de tuer, et ils pourraient bien en faire usage un jour. Si j’étais à votre place, j’utiliserais ma formation pour disparaître sans laisser de traces. Il vaut mieux vivre dans un village retiré en Amazonie que de s’écraser d’un hélicoptère, à mon avis. Puis, lorsque la révolution sera en marche, soyez sûr de pouvoir nous rejoindre : nous aurons un grand besoin de gens comme vous.

La CIA – par l’intermédiaire de leurs agents argentins par exemple – a fait chuter des gens d’une « hauteur significative » (comme l’a formulé le FBI) dans des eaux troubles pendant des années. Dans la version Argentine de la fin des années 1970, les victimes étaient souvent enchaînées entre elles et dénudées (les déshabiller humilie les victimes et satisfait les tendances perverses de certains banquiers et de leurs acolytes). Il reste à voir si c’était le cas des deux membres de cette équipe.
Le nombre de témoins décédés (4) excède le nombre des victimes (3) des explosions de Boston.

Si la plupart de vos amis et relations (comme c’est le cas de la plupart des miens), cher lecteur, sont des critiques endoctrinés invétérés de la conspiration, racontez-leur la fable de l’empereur nu, puis confrontez-les au « mystère de la disparition des témoins du Marathon de Boston » et demandez-leur : Quelle est la première hypothèse qui viendrait à l’esprit de Sherlock Holmes ? Ou encore mieux : comment un enfant de huit ans qui n’a jamais été exposé à la TV aborderait-il ce mystère ?


13. Les conséquences des incidents terroristes : des attaques en règle contre les libertés

Chaque acte de terrorisme présumé est suivi par des attaques coordonnées à la vitesse de l’éclair, apparemment planifiées à l’avance par l’intermédiaire de la police sous les ordres des banquiers, des présidents et législateurs à tous niveaux, des maires et par-dessus tout des médias – sur la Constitution et tout ce qu’elle représente, y compris le droit à la légitime défense contre des bandits en uniforme. Cette trahison consécutive au terrorisme lancinant, fait émerger une évidence : la Constitution est précisément la cible de cette guerre artificielle contre le terrorisme.

Quelques heures à peine après la tragédie de Boston, par exemple, il y a eu des appels bien médiatisés de la part de marionnettes publiques et de citoyens naïfs, à plus de caméras de surveillance dans nos villes, plus de drones dans nos cieux, et moins d’armes et de munitions pour nous défendre contre un gouvernement de plus en plus corrompu, brutal, arbitraire et illégitime.

Pour retrouver un seul adolescent de 19 ans, blessé, effrayé, sans arme et probablement innocent, le Syndicat du crime a promulgué la loi martiale dans une ville entière (en fait, ils ont utilisé l’euphémisme mensonger, comme ils le font toujours, « d’assignation à domicile ») et, en contrevenant au 4ème amendement de la Constitution, ils ont procédé à des perquisitions systématiques arme au poing. 

 RonPaulOnBostonMartialLaw

14. Le secret, le secret partout et pas une once de transparence

Un voile partiel du secret entoure chaque acte de terrorisme, menant inexorablement à la question clef : que cachent-ils ? La réponse la plus probable étant : leur complicité avec le terrorisme.

Voici un florilège de Boston :

« Les autorités disent que le médecin légiste a déterminé la cause de la mort du suspect des attentats à la bombe de Boston, Tamerlan Tsarnaev, mais l’information demeurera confidentielle jusqu’à ce que la dépouille soit mise à disposition et qu’un certificat de décès soit établi. »

Deux semaines après l’exécution d’Ibrahim Todashev lors d’un « interrogatoire », les exécuteurs (le FBI) ont refusé de révéler officiellement ce qui avait provoqué la fusillade ou si Todashev avait une arme sur lui (comme si le FBI menait des interrogatoires avec des hommes armés) et « ont déclaré qu’ils ne révéleraient pas d’autres informations sur la fusillade. Un porte-parole du FBI à Washington D.C. n’a pas répondu aux demandes d’explications » (de la part des grands médias sous contrôle).

Dave Lindorff se rappelle de ses tentatives pour obtenir des informations concernant la société de sécurité privée, fortement suspectée qui était présente sur le marathon de Boston – il s’est trouvé face à un mur. Quelqu’un les a engagé, mais personne n’était disposé à lui dire par qui ni pourquoi.


15. Il est bien connu que de nombreux attentats “terroristes” ont été facilités et planifiées par le gouvernement lui-même – afin de piéger des terroristes semble-t-il

« Il existe un historique très documenté où le gouvernement utilise des pièges pour faciliter les attentats terroristes. Le New York Times a rapporté plusieurs « complots terroristes mortels »  qui ont été « facilités » par le FBI, dont les agents opérant sous couverture et dont les informateurs se sont fait passer pour des terroristes … Cela implique pour monter ces opérations l’usage de faux missiles, de faux explosifs C4, de ceintures explosives désamorcées, et de bombes chimiques inertes fournis à des suspects naïfs. »

Cela laisse à penser, au moins que le Syndicat du crime est étroitement associé au terrorisme, ce qui, pour le moins, devrait éveiller les soupçons. Au pire, cela suggérerai que le terrorisme est librement conçu par le syndicat lui-même.

Concernant  Boston, pour le moment, il n’y a que des preuves indirectes du piège.

« Virtuellement, chaque attentat terroriste aux Etats-Unis depuis le 11 septembre porte la marque du FBI, et les attentats à la bombe de Boston ne font pas exception. »

Si l’analyse générale fournie par cet article est pertinente, des preuves plus directes du soutien du gouvernement aux attentats de Boston devraient finalement sortir.


16. Lors de nombreux actes terroristes parrainés par les banquiers, un « entraînement» parallèle de la police ou de l’armée avait été planifié, qui ressemblait furieusement à l’acte terroriste lui-même.

Ce parallèle est évidemment plus cohérent avec un complot d’inspiration gouvernemental qu’avec un complot anti-gouvernemental.

Il y a des raisons de croire qu’il s’applique également aux explosions de Boston.

« Des forces de l’ordre américaines ont organisé un entrainement antiterroriste exactement au même endroit et à la même heure où s’est produit le véritables attentat. Des caméras de surveillance ont montré des personnels des forces de l’ordre américains avec des sacs à dos noirs sur la scène de crime plus tôt, mais ils se sont dispersés ensuite, une minute ou deux avant que l’explosion n’ait lieu. »

 CynthiaMckinneyFalseFlagPatterns
Selon les récits des témoins oculaires :

« Au village des athlètes il y avait des hommes sur le toit qui surveillaient le village au départ. Il y avait des chiens qui reniflaient à la recherche d’explosifs, et on nous a dit dans une annonce au mégaphone que nous ne devions pas nous en inquiéter et qu’il ne s’agissait que d’un entraînement. Et peut être n’était-ce qu’un entraînement, mais je n’ai jamais rien vu de pareil – lors des marathons auxquel j’ai assisté. Cela m’a inquiété, vous savez, que la seule course à laquelle j’ai assisté de toute ma vie où il y avait des chiens à la recherche d’explosifs, soit également la seule où il y a eu des explosions. » 

Deux semaines après avoir écrit les lignes ci-dessus, un autre entraînement étrange a fait surface. Bien avant le marathon de Boston de 2013, le gouvernement avait prévu un « important exercice de police » pour les 8 et 9 juin 2013. Cet exercice « financé par un don de 200 000 $ par le ministère de l’intérieur (Homeland Security) avait pour thème « un groupe terroriste qui se prépare à tuer et blesser un grand nombre de personnes aux alentours de Boston » abandonnant derrière eux des « sacs à dos remplis d’explosifs ». « Le complot de base était celui-ci : (de faux terroristes) … placeraient de faux engins explosifs ».  « Des mois de planification minutieuse avaient été investis dans cet entraînement ». « Des représentants d’une douzaine de services s’étaient réunis durant des mois pour définir le scénario. Ils se comportaient presque comme des producteurs de cinéma, recrutant des étudiants de l’Université Northeastern et de l’académie de police de Boston pour jouer les scènes, le rôle de terroristes et de témoins. » Il était pratique pour les têtes pensantes de Gladio-Etats-Unis, que dans cet entraînement, très peu voire aucun des participants ne savaient ce qui se passait réellement. « Les participants en effet, ne connaissaient pas le scénario ». « L’exercice planifié présentait d’étranges similitudes avec les enquêtes de la police ayant conduit à la capture des poseurs de bombes présumés du Marathon de Boston ». « Mais deux mois avant que l’exercice ne se déroule, la ville a été frappée par un attentat terroriste réel exécuté d’une façon absolument identique. »

Tous ces secrets, ce parallèle saisissant, l’ignorance des exécutants du plan général, sont parfaitement compatibles avec l’hypothèse Gladio – et sont de façon absolue, indéniable, inexplicable et inconciliable avec l’hypothèse alternative d’un attentat terroriste musulman.



17. Des liens douteux entre des terroristes présumés et les escadrons de la mort du gouvernement (c.à.d. la CIA, FBI, DIA, DHS, TSA, MI6, Mossad)

Dans de nombreux cas de faux terrorisme (remontant de façon lointaine aux assassinats de J.F. Kennedy Sr et John Lennon, ainsi qu’à la tentative d’assassinat sur Ronald Reagan (par le fils d’un proche associé du clan Bush), les auteurs présumés sont liés à des escadrons de la mort officiels (FBI, CIA).

A Boston, nous observons au moins trois connexions de ce genre.

  1. Jusqu’en 1999, l’oncle de Tamerlan et Dzhokhar était marié à la fille d’un haut responsable des opérations de la CIA (en fait, son père était, comme le remarque F. William Engdahl, l’homme qui avait recruté Oussama Ben Laden et d’autres extrémistes, tchétchènes et d’autres, pour affaiblir le gouvernement séculaire et civilisé en comparaison, qui dirigeait l’Afghanistan au début des années 1980). De plus, l’oncle avait travaillé pour des sociétés ayant des liens avec Halliburton et dirigeait un établissement qui avait tout d’une société-écran de la CIA. En outre, ledit oncle avait habité pendant un an dans la maison de ce dirigeant de la CIA, même pendant que sa société fournissait de l’aide aux terroristes islamiques en Tchétchénie (pour s’efforcer de déstabiliser la Russie), son adresse officielle était le domicile du beau-père de l’oncle.

W. Engdahl pose la question :

 « Est-ce une pure « coïncidence » que l’oncle de deux jeunes hommes accusés des attentats à la bombe de Boston était lié par mariage à la personne de la CIA qui était responsable des réseaux qui sont devenus plus tard Al Qaida dans toute l’Asie centrale, y compris la Tchétchénie où se trouvaient les racines des frères Tsarnaev ? »

  1. La femme de Tamerlan est la « petite-fille de Richard Warren Russell, membre des Skull and Bones et entrepreneur dans l’industrie énergétique. »

Les Skull and Bones, est une fraternité secrète d’étudiants de l’Université de Yale (faculté de droit) étroitement liée au Syndicat du crime.

Selon Anthony C. Sutton, l’ordre des Skull and Bones « est puissant, incroyablement fort », et comprend « d’ancienne familles patriciennes » comme les Taft, les Sloane, les Harriman et les Rockefeller omniprésents. D’autres lignées et individus soutenant l’idéologie fasciste, et dorénavant leur emprise sur l’Amérique comprennent William Buckley (un dirigeant de la CIA et ensuite un fervent promoteur de propagande à la solde des Rockefeller), le collaborateur nazi Preston, ses fils Jonathan et George H., son petit-fils George W. Bush et le Secrétaire d’Etat John Kerry.

  1. Selon un grand journal russe, Tamerlan aurait pu être un agent des services de renseignement américains. En 2012, par exemple, « il a participé à un séminaire parrainé par les Etats-Unis dans le Caucase, dont le but était de déstabiliser les régions du sud de la Russie. » Mahdi Darius Nazemroaya remarque :

« Tous les petits détails qui ont émergé sur lui montrent qu’il avait eu des contacts avec les autorités américaines et qu’il était suspecté d’espionnage en Russie. »


18. On ignore les soutiens financiers

Les versions officielles ignorent souvent le fait que de nombreuses opérations terroristes exigent de l’argent. On nous dit toujours qui sont les auteurs, mais on fait l’impasse sur leurs investisseurs. Cela nous laisse souvent l’impression qu’on nous dissimule quelque chose.

A Boston, « il reste à trouver la réponse à la question de savoir où les deux frères, dont aucun n’avait de richesse, ont pu se procurer l’argent pour s’offrir des vêtements à la mode ou, dans le cas de Tamerlan (qui avec son épouse et sa petite fille, selon les informations disponibles, vivait jusqu’ici de l’aide sociale), pour s’acheter la dernière berline Mercedes-Benz. »


19. Le complot Gladio-Etats-Unis est plein de contractions, d’incohérences, de mensonges, de rétractations, et de faits douteux.

« Les gouvernements occidentaux, les services de renseignement et les grands médias ont fait la preuve qu’ils étaient des sources d’informations indignes de confiance au sujet des « attentats terroristes » présumés ou « des complots terroristes avortés ».

« Dans les jours qui ont suivi les attentats à la bombe de Boston, d’énormes contradictions  sont apparues dans les comptes-rendus officiels fournis par l’administration Obama, le FBI et les autres services de l’état quant à la manière dont cet attentat s’est déroulé. »

Lorsqu’on en arrive à ce genre de faits bizarres, il faut s’en remettre aux chiffres. Des critiques invétérés de la thèse du complot pourraient peut être expliquer quelques-uns des épisodes peu ragoûtants, mais seraient-ils capables d’expliquer les arguments de A à M suivants ?

  1. Les frères Tsarnaev sont nés en Tchétchénie pour s’installer ensuite aux Etats-Unis. La Tchétchénie, une république de la Fédération de Russie, peuplée principalement de musulmans, les Tchétchènes, a plus souffert que les ethnies Russes, des atrocités inexprimables lors du règne de Staline. Ils avaient également fait l’objet de discriminations par le gouvernement soviétique et les citoyens russes ordinaires. Le Syndicat des banques se repaît habituellement de ce genre de mécontentements justifiés de la même manière que des sangsues de la vallée de Katmandou se repaissent de sang humain. Comme en Afghanistan et ailleurs, dans le cadre de ses tentatives de déstabilisation pour faire éclater la Russie – peut-être le seul défi nucléaire significatif pour les banquiers – et celles pour déstabiliser le monde entier (y compris les Etats-Unis), le Syndicat du crime, par le biais des escadrons de la mort de la CIA et du MI6 ; a orchestré et soutenu le mouvement sécessionniste en Tchétchénie. Une partie de ce soutien consistait à l’organisation d’escadrons de la mort créés de toutes pièces, encourageant et facilitant des attentats terroristes en Tchétchénie et dans d’autres parties de la Russie.

Comme Alexandre Soljenitsyne avant sa première visite aux Etats-Unis et plus tard lors de son soutien tragique, mal informé sur la guerre du Vietnam, les militants tchétchènes naïfs considéraient à tort la CIA et les Etats-Unis comme leurs bienfaiteurs alliés ; donc, cela défie l’entendement qu’ils aient voulu commettre un acte terroriste contre l’Amérique. Avant de recevoir le scénario officiel, le fasciste de bonne réputation Rudy Giuliani, par exemple, avait à juste titre fait observer que les extrémistes tchétchènes ne voulaient terroriser que la Russie et ne nourrissaient aucune animosité envers les Etats-Unis. Abondant dans ce sens, en 2013, parmi les mercenaires étrangers chargés d’organiser le génocide, le chaos, le fanatisme et les fractures religieuses en Syrie, Gordon Duff remarqua la présence de « mercenaires tchétchènes travaillant avec la CIA et Al Qaida. »

De même, « Wayne Madsen et d’autres journalistes ont prouvé que les « groupes terroristes tchétchènes » liés au frère aîné Tsarnaev, par le biais de ses maîtres de la CIA … étaient en fait des groupes terroristes pro-américains dirigés par le gouvernement américain contre le gouvernement russe. »

Et pourtant, on veut nous faire croire que deux Tchétchènes, dont l’un avait assisté à une « conférence » parrainée par la CIA en Russie, haïraient suffisamment les Etats-Unis pour risquer la mort afin de tuer une femme chinoise, un petit garçon américain et un gérant de restaurant américain, et de blesser un grand nombre d’autres innocents américains et étrangers, de  plus, tout cela au cours d’un évènement sportif international dont les trois premiers prix, dans les catégories hommes et femmes, ont récompensé des Kenyans et des Ethiopiens.

  1. Dans un travail d’enquête minutieux, Dave Lindorff a mis à l’épreuve une question simple : à quoi ressembleraient les bretelles d’un sac à dos rempli de clous et d’explosifs ? La réponse : certainement pas au sac à dos de Dzhokhar Tsarnaev ! Cette simple expérience scientifique – comparer un sac à dos d’un poids comparable en explosifs à une photo du sac à dos de Dzhokhar – a permis à Lindorff de conclure que peu importe ce que Dzhokhar « portait, ce n’était certainement pas un cylindre de 13 ou même de 9 kilos. » La même chose est valable pour le sac à dos de Tamerlan Tsarnaev.

  1. Lindorff remarque que les sacs à dos des deux frères semblaient gris, mais que les sacs à dos abimés dont le FBI dit qu’ils leur appartenaient étaient noirs.

  1. « Pendant ce temps, il y avait des gens sur place près de la ligne d’arrivée qui portaient des sacs à dos qui étaient aussi bien noirs et assez grands et suffisamment remplis pour contenir les cocotte-minute. Ces hommes ont été observés et photographiés portant des casquettes de base-ball et des chemises comportant le logo d’une tête de mort blanche d’une société de mercenaires vacataires basée à Houston, Texas, appelée Craft International Security (qu’aucun service gouvernemental n’admettra avoir engagée) ».

Il s’avère que cette société de mercenaires privés entretient « d’étroites relations incestueuses avec la CIA ». Les sacs à dos de ces mercenaires privés correspondent parfaitement aux sacs qui ont renfermé les explosifs d’après le FBI.

  1. Le FBI avait d’abord feint d’ignorer l’identité des deux suspects des attentats de Boston, Tamerlan et Dzhokhar Tsarnaev, en demandant au public qui ne se doutait de rien, de l’aider à « identifier » et « retrouver » les suspects, mais plus tard, ils ont fait marche arrière, à la suite des révélations que le frère aîné – et en fait toute sa famille – était sous surveillance permanente. »

  1. Le FBI a délibérément menti aussi, sur les circonstances ayant conduit à l’arrestation des suspects. Par exemple, le FBI a faussement accusé les deux frères d’avoir dévalisé une supérette. Et, comme si cela ne suffisait pas, le FBI a évoqué le spectre d’une fusillade effrénée avec ces desperados, affirmant qu’ils avaient tué un policier. Comme nous l’avons constaté, il s’est avéré que le malheureux policier avait été tué par un autre policier (ils appellent cela une balle perdue, en jouant sur les mots pour retarder la révélation qu’un policier aurait pu recevoir l’ordre d’en tuer un autre).

  1. « Contredisant les affirmations de la part des autorités que Dzhokhar Tsarnaev avait renversé son propre frère, un témoin oculaire de l’incident affirme que la police a roulé plusieurs fois sur Tsarnaev avec un 4x4 avant de le cribler de balles. »

  1. Comme nous l’avons vu, les « forces de l’ordre américaines conduisaient un exercice exactement au même endroit et au même moment où se déroulaient les véritables actes terroristes. » Naturellement, le gouvernement a d’abord nié l’existence de cet entraînement.

  1. « Les officiels prétendaient que Dzhokhar Tsarnaev n’était pas armé alors qu’il s’était réfugié dans un bateau à Watertown (une banlieue de Boston) ». Cette nouvelle version contredit le compte-rendu du Chef de la Police de Boston sur la fusillade de plusieurs heures avec Tsarnaev, un reportage du New York Times indiquant qu’un fusil M4 avait été trouvé dans le bateau où il s’était réfugié et l’affirmation que Tsarnaev se serait blessé avec son arme à bord » - étant donné qu’il n’avait pas d’arme, il ne pouvait s’être infligé les blessures par balle. » Et soit dit en passant, il est probable que sa gorge et ses cordes vocales aient été tranchées par un couteau, pas par une arme à feu.

  1. Et puis il y a l’exécution de l’ami de Tamerlan, Ibragim Todashev, au cours de son interrogatoire par l’escadron de la mort (FBI) (voir plus-haut). D’abord, l’équipe d’interrogateurs a prétendu que Todashev « s’était jeté sur l’agent avec un couteau pendant qu’on l’interrogeait à son domicile. » L’escadron de la mort s’est rétracté plus tard en concédant qu’Ibragim n’était pas armé.

  1. Ou prenez la question de savoir qui est à blâmer. Comme nous l’avons vu, selon la police, le premier suspect était un jeune Saoudien ayant des liens familiaux avec Al-Qaida. L’enquête sur ce suspect fut soudainement abandonnée, après « que l’ambassadeur saoudien ait tenu une réunion imprévue avec Barack Obama et une autre avec le Secrétaire d’Etat John Kerry, et après que l’épouse d’Obama ait rendu visite à ce mystérieux saoudien à l’hôpital. Cet homme a été expulsé en toute hâte pour « activités terroristes ».

Cette expulsion n’a aucun sens. Pourquoi l’expulser aussi rapidement, en se privant des informations que cet homme aurait apportées pour faire la lumière sur le dossier ? Auparavant nous avons importé des « terroristes » dans le Camp de Détention de la Baie de Guantanamo, et maintenant nous expulsons un suspect potentiel avant même d’être sûr de ses liens avec les attentats de Boston ? Se pourrait-il que cet expulsé ait été le suspect désigné mais que nos amis dictateurs de Riyad aient expliqué clairement que les boucs émissaires saoudiens du 11 septembre suffisaient, et qu’ils ne permettraient plus au Syndicat du crime d’impliquer un ou plusieurs citoyens saoudiens dans les propres actes terroristes du Syndicat ? Se pourrait-il que la méfiance des dirigeants saoudiens ait forcé le Syndicat du crime à revoir son scénario au dernier moment et que le Syndicat se soit rabattu sur les frères Tsarnaev (il s’est avéré que les Tsarnaev fréquentaient la même mosquée que l’expulsé saoudien) ? Si effectivement ils ont dû improviser, cela expliquerait les incohérences plus nombreuses que d’habitude de la version officielle.

  1. Nous avons constaté auparavant, en discutant sur le dossier troublant concernant la mort de l’officier de police Collier, de la blessure et de l’amnésie de l’officier de police Donohue, que la police avait menti – et qu’elle avait été obligée de faire un communiqué pour se rétracter – sur les circonstances de la mort de Collier et des blessures graves de Donohue.

  1. L’élue régionale Stella Tremblay (Républicaine d’Auburn) a affirmé qu’elle savait que le gouvernement fédéral  était derrière ces attentats  parce que Jeff Bauman, une victime des attentats qui a aidé à identifier les suspects, n’était pas « en train de crier agonisant » après avoir eu ses deux jambes amputées par l’explosion.

A l’appui de cette affirmation, Jim Fetzer a fourni des preuves suggérant « que la perte des deux jambes de Bauman sous les genoux semble avoir été truquée ». A la suite d’un tel traumatisme, il aurait dû y avoir du sang partout, mais on n’a rien constaté de tel. La victime aurait dû être inconsciente, mais elle restée consciente tout le temps. « Lorsqu’on le pousse trop vite dans une chaise roulante, une prothèse (attachée à l’os saillant) tombe et ils sont obligés de s’arrêter et de la lui remettre. »


Les mots de conclusion

Cette publication a sans doute négligé certains indices révélateurs de ce faux terrorisme et en a mal interprété et mal évalué d’autres. Ce qu’il faut en retenir, cependant ce ne sont pas les erreurs factuelles, les omissions et les points de vue, mais le fait incontestable que le terrorisme conçu par les autorités se conforme à un schéma type général. C’est ce schéma type et non la foule des détails, qui plaide sans conteste pour l’implication du Syndicat du crime.

Permettez-moi de l’indiquer plus énergiquement. Nos 19 critères distinctifs, considérés ensemble, ne permettent que deux et seulement deux interprétations. La première, est que nous vivons dans un monde étrange et chamboulé dans lequel les preuves et la logique ne s’appliquent plus. La seconde est qu’il s’agit de terrorisme d’origine gouvernementale.

Après avoir passé en revue les preuves disponibles de la tragédie de Boston, le Professeur James Petras a écrit :

« L’hypothèse la plus probable est que le FBI ait facilité les attentats à la bombe afin de raviver les élans latents de la « guerre contre le terrorisme » imposée à un public américain las de la guerre et économiquement affaibli. »

Les 19 signes ci-dessus, oserai-je dire, transforment cette probabilité en une quasi-certitude.

Le temps et la force émotionnelle ne me permettent pas de démontrer que la plupart de ces critères s’appliquent à tout acte de terrorisme, au moins depuis le 11 septembre. Le lecteur peut vérifier par lui-même en appliquant les 19 critères ci-dessus désignés Gladio-Etats-Unis à tout incident passé. Mieux, il pourra même en vérifier la pertinence en l’appliquant au prochain acte de terrorisme très largement médiatisé.

Vous pourriez demander : ce terrorisme va-t-il continuer ? Ma réponse est : le soleil va-t-il se lever demain ? Est-ce que les banquiers internationaux vont vous voler des dizaines de milliers de dollars dans les années à venir ? Est-ce que les banquiers, par l’intermédiaire du gouvernement et des médias à leur pieds, vont continuer à mentir sur l’inflation, le chômage, les prix de l’or, le budget des guerres impérialistes, les casus belli – et tout le reste ? Vont-ils continuer à traiter leurs propres soldats, policiers, et assassins professionnels, blessés ou morts, avec indifférence et dédain ? Vont-ils continuer à appeler la guerre contre la classe moyenne américaine et les misérables : « accords de libre échange » ? Vont-ils continuer à « libérer » des pays en éliminant une partie significative de leur population, en les remettant aux mains de maniaques génocidaires, en provoquant sans cesse les causes croissantes de défauts et de malformations à la naissance, et en poussant aux conflits religieux et ethniques ? Vont-ils continuer à assassiner d’influents dissidents américains ? Vont-ils continuer à réécrire le passé, corrompre le présent et voler l’avenir de nos petits-enfants ? Bien sûr qu’ils le feront – jusqu’à ce que nous les éloignions du pouvoir en les évinçant par la force.

Oui, ils vont nous terroriser, nous parasiter comme des sangsues et nous mettre une fois de plus sur la paille, encore et encore. Et comme nous, leurs sujets soumis comme des zombies, les laissons faire, ils vont continuer à activer leur campagne de terreur et leurs plans – jusqu’à ce qu’il ne reste rien de la liberté, de la pensée critique et holistique, de la justice, de la paix, de la compassion, de la spiritualité et des convenances sociales. Et comme les schémas de comportements qu’ils appliquent ont été fournis par Orwell et Hitler, il y a tout lieu de croire que le terrorisme qu’ils vont déclencher contre nous ne durera pas seulement jusqu’à ce qu’ils nous réduisent en esclavage, mais bien après : jusqu’à ce qu’en fait la Pachamama* à la crème fouettée s’effondre et entraîne avec elle l’humanité et les banquiers philistins qui règnent sur elle.

*Pachamama : sorte de « burger » bio.

Traduction Française Patrick T rev Isabelle

Moti Nissani -

La biographie universitaire de Moti Nissani peut être consultée ici :
http://www.is.wayne.edu/MNISSANI/CV99.HTM

Veteran Today. 

No comments:

assange



At midday on Friday 5 February, 2016 Julian Assange, John Jones QC, Melinda Taylor, Jennifer Robinson and Baltasar Garzon will be speaking at a press conference at the Frontline Club on the decision made by the UN Working Group on Arbitrary Detention on the Assange case.

xmas





the way we live

MAN


THE ENTIRE 14:02' INTERVIEW IS AVAILABLE AT

RC



info@exopoliticsportugal.com

BJ 2 FEV


http://benjaminfulfordtranslations.blogspot.pt/


UPDATES ON THURSDAY MORNINGS

AT 08:00h UTC


By choosing to educate ourselves and to spread the word, we can and will build a brighter future.

bj


Report 26:01:2015

BRAZILIAN

CHINESE

CROATIAN

CZECK

ENGLISH

FRENCH

GREEK

GERMAN

ITALIAN

JAPANESE

PORTUGUESE

SPANISH

UPDATES ON THURSDAY MORNINGS

AT 08:00 H GMT


BENJAMIN FULFORD -- jan 19





UPDATES ON THURSDAY MORNINGS

AT 08:00 H GMT

PressTV News Videos