Labels

SUPPORT JULIAN ASSANGE

Wednesday, November 30, 2016

F. William Engdahl -- Seeds of Destruction: The Hidden Agenda of Genetic Manipulation -- Chapter 12 included

Seeds of Destruction: The Hidden Agenda of Genetic Manipulation

Review of F. William Engdahl's book published by Global Research


Please read  below CHAPTER 12
Terminators, Traitors, Spermicidal Corn



Seeds of Destruction: The Hidden Agenda of Genetic Manipulation

Get your copy of this important book from the Global Research online store!

The last three or four years have seen a number of books, documentaries and articles on the dangers of Genetically Modified (GM) seeds. The majority has focused on adverse health and environmental impact; almost none on the geo-politics of GM seeds, and particularly seeds as a weapon of mass destruction. Engdahl has addressed this issue but the crop seed is one of the many “Seeds of Destruction” in this book.
Engdahl carefully documents how the intellectual foundations of ‘eugenics,’ mass culling of the sick, coloured, and otherwise disposable races, were actually first established, and even legally approved, in the United States. Eugenics research was financially supported by the Rockefeller and other elite families and first tested on Jews under Nazi Germany.
original
It is purely by chance that the world’s poorest nations also happen to be best endowed with natural resources. These regions are also the ones with growing population. The fear among European ruling families, increasingly, integrating with economic and military might of the United States, was that if the poor nations became developed, the abundant natural resources, especially oil, gas, and strategic minerals and metals, may become scarcer for the white population. That situation was unacceptable to the white ruling elite.
The central question that dominated the minds of the ruling clique was population reduction in resource rich countries but the question was how to engineer mass culling all over the world without generating powerful backlash as it was bound to happen. When the US oil reserves peaked in 1972 and it became a net oil importer, the situation became alarming and the agenda took the centre stage. Kissinger, one of the key strategists of Nixon, nurtured by the Rockefellers, prepared what is known as National Security Study Memo (NSSM#200), in which he elaborated his plan for population reduction. In this Memo he specifically targets thirteen countries: Bangladesh, Brazil, Colombia,  Egypt, Ethiopia, India, Indonesia, Nigeria, Pakistan, Turkey, Thailand, and The Phillipines.
The weapon to be used was food; even if there was a famine food would be used to leverage population reduction. Kissinger is on record for stating, “Control oil, you control nations; control food and you control the people.” How a small group of key people transformed the elitist philosophy, of controlling food to control people, into realistic operational possibility within a short time is the backdrop of Engdahl’s book, the central theme running from the beginning till the end with the Rockefellers and Kissinger, among others, as the key dramatis personae.

Tuesday, November 29, 2016

THIERRY MEYSSAN -- La France et la Turquie contre les kurdes

La France et la Turquie contre les kurdes

Les médias occidentaux ne parviennent pas à expliquer les guerres qui agitent l’« Orient compliqué » parce qu’ils refusent d’en rendre compte à l’échelle régionale. Plutôt que de discuter si les évènements en Syrie sont une révolution, une guerre civile ou une agression, ou si la répression en Turquie est justifiée ou non, Thierry Meyssan propose une autre lecture des faits à travers l’exemple des kurdes.
 | DAMAS (SYRIE)  

JPEG - 27.8 ko
Le kurde syrien Salih Muslim, collaborateur du président Erdoğan, a conduit une partie de sa communauté à la défaite. Il tente aujourd’hui de se racheter et a été placé sous mandat d’arrêt par Ankara.
Les médias occidentaux traitent des événements au Proche-Orient État par État. Leurs lecteurs, qui ignorent pour la plupart l’histoire de cette région, n’en sont pas surpris, mais ne parviennent pas à comprendre cet « Orient compliqué » en guerre perpétuelle.
Or, le Proche-Orient n’est aucunement comparable à l’Europe par exemple, mais plutôt à l’Afrique, car ses frontières ne sont pas basées sur des réalités géographiques, mais sur les arrangements des puissances coloniales. Durant le dernier siècle, les États du Proche-Orient ont œuvré pour faire de leur population de vrais Peuples. En définitive, seuls l’Égypte, la Syrie et l’Irak y sont parvenus.
Au cours des cinq dernières années, la presse occidentale a donc traité d’une prétendue « révolution démocratique » en Tunisie, en Libye, en Égypte et en Syrie, de la soi-disant « ingérence iranienne » au Bahreïn, au Liban et au Yémen, et du « terrorisme » en Irak. Au contraire, sur place, toutes les forces concernées, à la seule exception des pétro-dictatures du Golfe, ont dénoncé cette lecture des événements et présenté une interprétation régionale complètement différente.
À titre d’exemple, observons la situation des kurdes. Je pourrais tout autant expliquer ici la situation de Daesh, mais ce second exemple serait encore plus difficile à admettre pour mes lecteurs occidentaux.

Monday, November 28, 2016

Valentin Vasilescu -- Quelle sera la future politique militaire de l’administration Trump en Extrême-Orient ?

Quelle sera la future politique militaire de l’administration Trump en Extrême-Orient ?

Si la politique militaire de l’administration Trump est prévisible en ce qui concerne la lutte contre les islamistes et le déploiement de l’Otan en Europe orientale, elle est plus difficile à anticiper en Extrême-Orient. Valentin Vasilescu donne quelques pistes.
 | BUCAREST (ROUMANIE)  
JPEG - 38.5 ko
Michael T. Flynn
Donald Trump sera le président des États-Unis pour les quatre prochaines années. L’« Amérique » est le « gendarme du monde » et détermine également les lignes d’action de l’Otan. Sa politique militaire sera dictée par le lieutenant-général Michael Flynn, le conseiller présidentiel en charge de la Sécurité nationale.
Une des certitudes sur l’administration Trump est le changement radical d’attitude envers le gouvernement de Bachar Al-Assad, visible à travers le fait que Michael Flynn avait été démis de ses fonctions de directeur de la DIA par le président sortant Barack Obama pour avoir demandé l’arrêt du soutien des mercenaires islamistes. Dans cette perspective, il est fort probable que la base russe de Hmeymim, deviendra le centre de commandement unifié pour la lutte contre les mercenaires islamistes opérant en Syrie. Dans la même logique, les États-Unis devront accepter de s’engager aux côtés de l’armée arabe syrienne contre les mercenaires islamistes dans des actions militaires sur le terrain où participent déjà plusieurs brigades de Spetsnaz et des blindées russes. L’aviation de la coalition anti-Daesh dirigée par les États-Unis pourra fournir un appui aérien aux troupes. Depuis le coup d’État en Turquie, et jusqu’à maintenant, Michael Flynn a montré son soutien au président Erdoğan. Ainsi, il est donc logiquement prévisible que les États-Unis l’introduiront dans leur équation pour résoudre la crise syrienne, ainsi que Vladimir Poutine et Bachar Al-Assad, abandonnant la variante de soutien aux combattants kurdes.
Si au Moyen-Orient les chances de coopération des États-Unis avec la Russie sont très élevées, pour ce qui concerne la désescalade en Europe de la situation créé par l’élargissement de l’Otan jusqu’aux frontières de la Russie, les chances sont plus faibles. Donald Trump a parlé au téléphone au président polonais Andrzej Duda et lui a assuré du soutien militaire de son pays. Cependant, Trump n’a pas parlé au président de la Roumanie, ni avec celui de la Bulgarie. Cela signifie que le plan prévu de déploiement par l’Otan d’une brigade blindée dans les pays baltes et la Pologne se réalisera pendant le mandat de Donald Trump, mais sans l’envoi de troupes ou du matériel de combat dans d’autres pays de l’Otan en Roumanie et en Bulgarie. Et la mer Noire restera un lac russe. Il sera possible de discuter de la levée du bouclier antimissiles US en Pologne et en Roumanie, sous conditions que la Russie fournisse une monnaie d’échange préservant les zones d’intérêt majeures des États-Unis, ailleurs qu’en Extrême-Orient.
Les probabilités de modification de la stratégie actuelle des États-Unis à l’égard de la Chine sont beaucoup plus grandes, étant donné que l’économie de la Chine a dépassé la leur et que son armée est en mesure de se procurer les technologies les plus avancées dans le domaine militaire. En Asie du Sud vit 60 % de la population mondiale, ce qui explique pourquoi les États-Unis ne veulent pas perdre cette part de marché au profit de la Chine. Une modification de la stratégie US consisterait à interdire l’accès de la flotte et de l’aviation chinoises dans leurs zones d’intérêt économique et militaire. Cela est possible en créant quatre secteurs de surveillance avec des moyens satellitaires et aériens pour suivre tous les mouvements de la Chine.
Le premier secteur concerne l’accès à la mer de Chine du Sud à partir de l’océan Indien, avec les points de passage obligés des détroits de Malacca et Sunda. Le rôle clé est joué par Singapour qui contrôle le détroit de Malacca (la voie principale de l’approvisionnement en pétrole de la Chine à partir du Golfe). À Singapour, les États-Unis utilisent la base navale de Sembawang et la base aérienne de Paya Lebar.
JPEG - 43.4 ko
Le deuxième secteur concerne les voies d’accès à la mer de Chine à partir de l’océan Pacifique, avec les points obligés traversant la mer de Sulu, la mer de Celebelor (au sud de la mer de Sulu) et Babuyan Channel (entre le nord des Philippines et Taiwan). La coordination des missions de reconnaissance des États-Unis sur les lignes de communications internes dans la mer de Chine méridionale peut être assurée à partir de la base aérienne US Andersen ou de la base navale de l’île de Guam (Iles Mariannes).
JPEG - 46.9 ko
Le troisième secteur concerne l’accès de la mer de Chine orientale à travers l’océan Pacifique, avec les points de passage obligés, au sud, par la zone située entre l’île de Taïwan et l’archipel d’Okinawa (Ryukyu) et, au nord, par la zone comprise entre l’archipel d’Okinawa et l’ile de Kyushu (extrémité sud du Japon). La distance entre Okinawa et Kyushu est la même que celle de l’île de Taïwan et Okinawa (600 km). La coordination des missions de reconnaissance des États-Unis peut être faite à partir de sa base d’Okinawa.
JPEG - 38.7 ko
Le quatrième secteur concerne l’accès à la mer de Chine orientale à partir du Japon et de la Corée du Sud. Le dispositif de surveillance de la péninsule du Shandong et de la côte est de la Chine est déjà assuré par la Corée du Sud et le Japon en coopération avec les troupes américaines déployées dans les deux pays.
JPEG - 42.4 ko
Articles sous licence creative commons
Vous pouvez reproduire librement les articles du Réseau Voltaire à condition de citer la source et de ne pas les modifier ni les utiliser à des fins commerciales (licence CC BY-NC-ND).

Thierry Meyssan -- La réforme du Renseignement selon le général Flynn

La réforme du Renseignement selon le général Flynn

Selon Thierry Meyssan, le général Flynn s’apprête à bouleverser le monde du Renseignement états-unien et à abandonner toutes les réformes post-11-Septembre. Il s’agirait d’en finir avec l’obsession des prisons secrètes et des assassinats ciblés pour revenir à l’essence du renseignement : comprendre et anticiper les évolutions du monde.
 | DAMAS (SYRIE)  
JPEG - 62.4 ko
Michael T. Flynn
Le général Michael T. Flynn, prochain conseiller de Sécurité nationale des États-Unis, est en train d’organiser une vaste réforme des services de Renseignement.
Selon nos informations, il s’apprête à remettre en cause les grandes réformes des années Bush et Obama : 

- le regroupement de 16 agences de Renseignement sous l’autorité unique d’un Directeur du Renseignement national, censé veiller au partage des informations ;
- l’abandon de la distinction entre les agents de terrain et les analystes au profit de centres fonctionnels tel qu’on en voit dans la série TV 24.

Comme nous l’avions souligné à l’époque et comme l’a également souligné le général Flynn par la suite : 

- le directeur du Renseignement national avait certes la capacité de centraliser des informations jusque là dispersées, mais pas d’intervenir dans le fonctionnement des divers agences. Il ne pouvait pas, par exemple, renvoyer un responsable incapable. 
- surtout : les centres fonctionnels actuels excellent dans la gestion des informations immédiates. Ils sont capables de localiser un individu, n’importe où dans le monde, et au besoin de l’éliminer. Mais cela n’est pas du Renseignement, c’est juste du crime. Si la CIA renverse à merveille des régimes qui déplaisent à la Maison-Blanche et dispose de prisons secrètes, elle ne sait plus du tout anticiper les évolutions politiques et encore moins militaires des uns et des autres.

Thierry Meyssan -- Michael T. Flynn et l’islam

Michael T. Flynn et l’islam

Le prochain conseiller de Sécurité nationale des États-Unis, le général Michael T. Flynn, a été successivement encensé comme l’un des plus brillants officiers de renseignement de sa génération, puis conspué comme un islamophobe et un tortionnaire. Entre temps, il s’était opposé au président Barack Obama et a rejoint le candidat Donald Trump.
 | DAMAS (SYRIE)  
-
JPEG - 48.3 ko
L’année dernière, le général Flynn était invité à l’anniversaire de la chaîne de télévision internationale, « Russia Today ». Sa participation a été violemment critiquée par la Maison-Blanche pour qui cette chaîne est un « organe de propagande de Vladimir Poutine » (sic).
Avec beaucoup de mauvaise foi, la presse clintonnienne décrit Michael T. Flynn, le prochain conseiller de sécurité des États-Unis, comme islamophobe et partisan de la torture. Qu’en est-il vraiment ?
C’est un catholique d’origine irlandaise, attaché à la stabilité de sa famille. Très sportif, il pratique à la fois des sports d’équipe et des sports individuels, mais préfère les sports de mouvement (water polo, surf) aux sports de force.

Saturday, November 26, 2016

Meeting with UN Secretary-General-designate António Guterres


Meeting with UN Secretary-General-designate António Guterres
Vladimir Putin met with Secretary-General-designate of the United Nations António Guterres at the Kremlin.
November 24, 2016
15:50
The Kremlin, Moscow
 Meeting with UN Secretary-General-designate António Guterres.

At a meeting with UN Secretary-General-designate António Guterres.

Meeting with UN Secretary-General-designate António Guterres.
President of Russia Vladimir Putin: Mr Guterres, welcome to Moscow.
This is not your first time in our country. We met back in 2000 when you were the prime minister of Portugal, and then several other times.
I would like to take this opportunity to personally congratulate you on your election to the important position of UN Secretary-General. This is a very responsible and complex job.
Russia, as one of the founders of the United Nations, has always supported its leading and central role in international affairs and has been in favour of it taking on a greater role in resolving conflicts and upholding human rights.
We are in constant touch with your predecessor, who will transfer his authority to you in January 2017, and we look forward to establishing a similar constructive dialogue with you.
Welcome.
UN Secretary-General-designate Antonio Guterres (in Russian): Thank you very much.
(In English.) President Putin, it is a great pleasure for me to be back.
As you very kindly remembered, I had a chance to meet with you at the time of the EU-Russia summit, but also the Russian-Portuguese summit that you asked us to have after the EU-Russia summit. Also, as a High Commissioner for Refugees, I had not only the pleasure and the honour to meet you but also to have very important, constructive and effective relations with your government that is something that I will obviously never forget.
I fully recognise decisive role of the Russian Federation not only in the UN but in all aspects of international relations. And I would say that an absolutely fundamental condition for me to be able to be useful to the international community is to be able to have a very constructive and positive dialogue and relationship with the Russian Federation.
We live in a world with multiple threats from the multiplication of new conflicts, the old conflicts that never die, from the spread of a new form of global terrorism to all challenges related, from climate change to food insecurity and to many other threats to the wellbeing of mankind.

I am a strong believer that global problems only can have global solutions, that there is no way a unilateral approach can solve them and I am a strong believer in the role of multilateralism. But I know that the role of the United Nations Secretary-General is not to be the leader of the world. It is a much more modest one. I will have plenty of things to do just to make sure that the machine is able to work much better than in the past. But looking at the enormous challenges in peace and security, I would like to have to offer my good services and as an added value to what necessarily is the leadership of the member states.

Friday, November 25, 2016

Putin's 2015 UN speech on 'multipolar world' coming to fruition

Putin's 2015 UN speech on 'multipolar world' coming to fruition

John Wight
John Wight has written for newspapers and websites across the world, including the Independent, Morning Star, Huffington Post, Counterpunch, London Progressive Journal, and Foreign Policy Journal. He is also a regular commentator on RT and BBC Radio. John is currently working on a book exploring the role of the West in the Arab Spring. You can follow him on Twitter @JohnWight1




When Vladimir Putin took the podium to address the delegates in attendance at the 70th UN General Assembly in New York on September 28, 2015 the sense that we were about to witness a seminal moment in history was inescapable.
And so it proved.
The speech the Russian leader proceeded to deliver to the delegates in attendance, along with an expectant world via the international media, was tantamount to announcing the birth of a multipolar world, one in which Washington would no longer enjoy the uncontested primacy and hegemony it had since the demise of the Soviet Union in 1991.
In a trenchant indictment, Putin reminded the delegates of the responsibility of Washington and its allies in destabilizing the Middle East since 9/11, and how their actions had unleashed chaos and crises to the point where it now threatened to reduce the entire region to a state of permanent anarchy. The most powerful moment in the speech came when he looked up from his notes and out to the assembled international delegates, whereupon, directly addressing the US government and political establishment, he said, “Do you now realize what you have done?”
It was a j’accuse delivered in the form of a simple question, penetrating the walls of propaganda that had been erected to conceal the truth of US exceptionalism. Russia was no longer a second tier power, Putin’s address confirmed, reduced to the role of bystander while Washington’s writ ran wherever it saw fit. And no longer was it, as unofficial representative of the emerging powers otherwise known as BRIC, prepared to accept a world in which the US, supported by its European allies, continued to treat international law as an optional extra where its interests were concerned, or the principle of national sovereignty as a gift to be bestowed or removed as it deemed fit rather than the universal and inalienable right enshrined in the UN Charter.

Eliseo Bertolasi -- THE ELITES’ UNION MUST DIE

The European Union which exists now is not a union of nations, but is a union of the elites, and banks, which work only for the economy. It is not a Europe of nations, of course.
Indeed, there are some movements in Europe that understood this situation, and they have reacted. We can see what happened in Great Britain with Brexit. We know that Europe, even Italy and France, have such parties and movements which are radically against the European Union.
I’m certain that if Europe will arrange a referendum on staying or leaving the EU, the result would be “leaving.” It would be the decision of European nations. That’s why I believe that even thoughts on such a referendum (“for” or “against” the EU) are actually forbidden, as they know of our decision, our movement.
Of course, it is possible to destroy the EU. This would be possible even within the European Union. This must be done not by other countries, but must be our own decision as nations are supported by those movements whose members are called Eurosceptics. People would choose another direction.
I’m certain that such movements are likely to continue to exist, and I believe that they will be only stronger in the next year, as European nations have realized our destiny and our future. Thus, the elites are actively against this process.
I believe and I’m certain that we should build relations with Russia. Russia is a country that is situated on the same continent as us. We are all Eurasia. In my opinion, this will be part of such a question.

assange



At midday on Friday 5 February, 2016 Julian Assange, John Jones QC, Melinda Taylor, Jennifer Robinson and Baltasar Garzon will be speaking at a press conference at the Frontline Club on the decision made by the UN Working Group on Arbitrary Detention on the Assange case.

xmas





the way we live

MAN


THE ENTIRE 14:02' INTERVIEW IS AVAILABLE AT

RC



info@exopoliticsportugal.com

BJ 2 FEV


http://benjaminfulfordtranslations.blogspot.pt/


UPDATES ON THURSDAY MORNINGS

AT 08:00h UTC


By choosing to educate ourselves and to spread the word, we can and will build a brighter future.

bj


Report 26:01:2015

BRAZILIAN

CHINESE

CROATIAN

CZECK

ENGLISH

FRENCH

GREEK

GERMAN

ITALIAN

JAPANESE

PORTUGUESE

SPANISH

UPDATES ON THURSDAY MORNINGS

AT 08:00 H GMT


BENJAMIN FULFORD -- jan 19





UPDATES ON THURSDAY MORNINGS

AT 08:00 H GMT

PressTV News Videos