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Thursday, June 27, 2013

Acclaim for 'Counter-Intelligence'




Acclaim for 'Counter-Intelligence'

ForbiddenKnowledgeTV
Alexandra Bruce
June 25, 2013

This is the first of the 5-part non-profit documentary film series, 'Counter-Intelligence' by the talented independent filmmaker, Scott Noble. This episode, "The Company" focuses on the history of the CIA and covert operations.

The film series has been lauded roundly by multiple CIA veterans and by college professors, alike - the latter recommending this series to become part of the coursework for classes on political science, history, sociology and cultural criticism.

Titles and URLs for All 5 Installments:


1) 'Counter-Intelligence Part 1' - "The Company"
http://www.forbiddenknowledgetv.com/page/23684.html

2) 'Counter-Intelligence Part 2' - "The Deep State"
http://www.forbiddenknowledgetv.com/page/23688.html

3) 'Counter-Intelligence Part 3' - "The Strategy of Tension"
http://www.forbiddenknowledgetv.com/page/23689.html

4) 'Counter-Intelligence Part 4' - "Necrophilous"
http://www.forbiddenknowledgetv.com/page/23690.html

5) 'Counter-Intelligence Part 5' - "Drone Nation"
http://www.forbiddenknowledgetv.com/page/23691.html



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Acclaim for

"An extraordinary work by a gifted filmmaker, "Counter-Intelligence" shines sunlight into the darkest crevices of empire run amok. The film vividly exposes a monstrous and unconstitutional "deep state" in which multiple competing chains of command -- all but one illegal -- hijack government capabilities and taxpayer funds to commit crimes against humanity in our name. Anyone who cares about democracy, good government, and the future will want to watch all five segments of this remarkable film."

-- Robert David Steele Vivas: CIA, USMC, OSS, Earth Intelligence Network and Founder, Phi Beta Iota the Public Intelligence Blog

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“A beautifully crafted and thought-provoking journey through America’s secret wars.”

-- Trevor Paglen
Author, The Dark Geography of the Pentagon's Secret World

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"Sunshine is the best disinfectant. With Counter-Intelligence, Scott Noble is here to clean house."

-- Stephen Lendman
Veterans Today

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"A compelling, prodigious work,"

-- Kathy Christison
Former CIA Officer

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"A groundbreaking, much needed review of the structure and operational capability of America's intelligence bureaucracy."

-- Bo Filter
Author, The Cause of Wars and Aggression

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"Scott Noble may have outdone himself with Counter Intelligence. The Psywar filmmaker amassed a tour de force of power elite and deep state scholars weighing in and synthesizing decades of research. From the rise of the national security state and mass proliferation of state/corporate propaganda to the normalization of constant, now remote (drone) warfare and the ongoing decay of constitutional rights, Noble lays out some of the most significant, yet oft overlooked or outright censored information about one of the most significant issues of our times– Black-Ops. Noble helps expose the real conspiracies of the powerful factually, transparently, and responsibly. It's a film that should be screening across the US, but given the nature and subject of the film, don't count on it. Share and show it far and wide. Counter-Intelligence would be an excellent addition to college classes on political science, history, sociology, or critical thinking to spark debate and discussion, utilizing what's left of our First Amendment rights while we still can."

-- Mickey Huff
Director, Project Censored/Media Freedom Foundation and Professor of Social Science and History, Diablo Valley College


Wednesday, June 26, 2013

TRADUCTION INTERVIEW ANONYMOUS – Journées de Divulgation à Washington des 29.4 -2.5.2013


 TRADUCTION INTERVIEW ANONYMOUS – Journées de Divulgation à Washington des 29.4 -2.5.2013

CLICK THE FIRST BUTTON OF THE RIGHT (CAPTIONS)TO GET SUBTITLES IN VARIOUS LANGUAGES


Anonyme:           Oui, bon, comme nous vieillissons de plus en plus  – j’ai 77 ans maintenant – on ne peut pas vivre éternellement, vous savez. Alors si cette opération visant à purifier mon sang ne marche pas, je n’aurai probablement plus que quelques mois avant que mes reins ne lâchent, vous savez. C’est pourquoi je vais faire cette interview maintenant.

Richard Dolan : Oui.

A :                         Oui.

R :                         Est-ce  que vous pouvez juste – pouvons-nous commencer au début avec votre carrière militaire, et passer en revue exactement ce que vous y avez vécu.

A :                         J’étais dans les … J’ai été incorporé dans l’armée et versé dans l’U.S. Army. Après quoi j’ai été envoyé au Centre de Formation des Communications, dans l’est des Etats-Unis.

R :                         Quand était-ce ?

A :                         En 58. J’ai suivi la formation des Communications. Et c’est là que j’ai suivi le cursus de radio télétypiste et également de cryptographie, « Crypto ». Ils avaient cinq instructeurs qui quittaient le service, alors ils les ont remplacé par les cinq meilleurs étudiants, et j’étais le troisième de la classe. Alors j’ai été recruté comme instructeur.

R :                         A ce moment-là, travailliez-vous déjà pour la CIA ?

A :                         Non.

R :                         Pas encore ?

A :                         Non. Un jour, mon patron vient vers moi et me dit : « cela vous dirait de vous faire un peu d’argent supplémentaire ? » Et j’ai répondu, « l’argent est bon à prendre ! » (rires mutuels). Alors il m’expliqua qu’il pourrait arranger cela, et que pour ce job j’aurai besoin d’obtenir une autorisation de niveau Q top secret Maison Blanche, vous savez. Et je dis, « bon, qu’est ce c’est que cela ? ». Et il répondit que, « je suis le directeur de la CIA pour l’est des Etats-Unis », vous savez. Et je dis, « Oh, je ne le savais pas ! ». Et il rétorqua, « vous n’étiez pas censé le savoir ! » (rires mutuels). Après environ six semaines, mon autorisation de sécurité arriva, et je reçus ma carte de la CIA. C’était une carte d’identité, format carte de crédit, que je n’avais qu’à passer dans le lecteur pour ouvrir la porte et entrer, et comme nom j’utilisais également un pseudonyme à cette époque. Je n’ai jamais utilisé mon vrai nom. J’ai commencé à travailler avec lui sur le projet sur lequel il planchait. Et c’était le projet Blue Book, qui était en partie mensonger.   

R :                         Vous pensez que certains des cas mentionnés dans Blue Book étaient complètement inventés ?

A :                         Oui. Oui. Mais les cas que nous obtenions provenaient, je pense de Fort Belveel, dans le Maryland.
R :                         Mmhmm, Fort Belvoir ?

A :                         Oui c’est ça. Et ils ne provenaient pas du Pentagone. Et ils ne venaient pas non plus du quartier général de la CIA. Mais nous recevions des rapports sur des observations faites au Mexique ou en Italie, ou quelque chose comme cela. Et alors nous devions – nous avions des gens qui suivaient ces cas, allaient interroger les personnes pour voir s’il s’agissait de canulars ou de cas avérés, vous savez.

R :                         Ils allaient outremer, fréquemment ?

A :                         Ce n’était pas mon cas, je restais toujours sur le territoire américain, mais les gens qui travaillaient avec nous à la CIA le faisaient. Nous recevions un nouveau rapport plusieurs fois par semaine. J’étais entré dans l’armée en venant de la ferme, vous savez. Ce qui fait que je n’avais pas beaucoup de connaissances générales. Mais mon patron m’a affecté au projet Blue Book et à ce qu’ils avaient découvert jusque là. Sur les Gris, les aliènes, et l’incident de Roswell.

R :                         Qu’avez-vous ressenti quand on vous a plongé dans le bain, quand vous en avez pris connaissance pour la première fois ?

A :                         Eh bien, je me sentais dépassé par tout cela, vous savez. Et je lui ai dit, « Je ne sais pas si je serai capable de juger ce genre de chose – ce qui est réel, ce qui ne l’est pas – si je ne sais pas grand-chose à ce propos », vous savez. Alors …

R :                         Qu’a-t-il dit ?

A :                         Il m’a dit, « Bon, nous allons devoir élaborer nos informations au fur et à mesure, et vous verrez bien ce qui en ressort ».

R :                         Et puis il y a autre chose, bien sûr, vous ne pouviez pas en parler à votre famille ou vos amis proches, évidemment.

A :                         Non. Non, je ne pouvais en parler à personne. En fait, j’ai dû prêter serment de n’en parler à personne. Pour l’essentiel durant 40 ans, et pour le reste durant 50 ans, ce qui veut dire 2010.

R :                         Vous faites donc tout ce travail de cryptographie, vous regardez des images, des photographies, des vidéos. En 1958, disons à l’automne de 58. Que se passe-t-il ensuite ?

A :                         A cette époque le Projet Blue Book a abouti à une impasse, vous savez. Si vous vous rappelez cette époque, ils l’ont quasiment déclaré « vide », vous savez. Et …

R :                         Ils ont déclaré au monde que tous les OVNI étaient le résultat de mauvaises interprétations, des canulars …

A :                         Des ballons.

R :                         … des problèmes psychologiques, n’importe quoi d’autre.

A :                         Oui. Alors mon patron vint vers moi pour me dire, « Nous avons reçu une nouvelle mission. » Et j’ai dit, « Où allons-nous ? » « Oh », dit-il, «Nous allons au Capitole. Nous allons faire partie de l’effort d’Eisenhower. Il essaie d’en savoir plus à propos de ce que MJ12 était censé découvrir sur les aliènes, des rapports qu’ils ne lui ont jamais envoyé ».

R :                         MJ12, le groupe de contrôle des OVNI, ils l’appelaient MJ12 à l’époque ? Oui ?

A :                         Ils nous ont fait entrer. Nous sommes entrés dans le bureau ovale, et le Président Eisenhower était là avec Nixon, et ils dirent, « Nous avons demandé aux membres de MJ12 de la Zone 51 et S4 de venir, mais ils nous ont dit que le gouvernement n’avait aucune juridiction sur ce qu’ils faisaient ». Alors en tant qu’ancien général, vous ne leur avez pas dit d’aller au diable s’ils n’avaient pas une bonne raison à présenter, vous savez. Alors il dit, « Je veux que vous et votre patron preniez l’avion pour y aller. Je veux que vous leur transmettiez un message personnel ». Il poursuivit, « Je veux que vous leur disiez que peu importe qui est responsable, ils ont la semaine prochaine pour venir à Washington pour me rendre compte. Et s’ils ne le font pas, je mobiliserai la 1ère Armée basée au Colorado, et nous irons leur rendre visite, pour nous rendre maîtres de la base. Peu importe le type de matériel classifié que vous avez rassemblé. Nous allons mettre ce truc en pièces. »

R :                         Eisenhower voulait envahir la Zone 51 ?

A :                         Ouais, avec la 1ère Armée.

R :                         Alors vous y êtes allé avec votre supérieur …

A :                         Oui.

R :                         Vous prenez l’avion, vous atterrissez, que se passe-t-il ? Pouvez-vous décrire ce qui s’est passé ? Ce que vous avez vu ?

A :                         Ils nous ont amenés 13 ou 15 miles au sud de S4 à différentes ouvertures de garage. Et dans ces ouvertures de garage, ils avaient différents types de soucoupes. Le premier abritait l’appareil de Roswell. Il avait l’air de s’être écrasé, mais apparemment chaque occupant aliène était mort, à deux exceptions près.

R :                         Donc vous voyez l’appareil de Roswell, et quels sont les autres que vous avez voyez ?

A :                         Eh bien, l’appareil de Roswell était vraiment étrange, parce qu’il ressemblait à une lourde feuille en aluminium. Nous avons pu nous en approcher et taper dedans. Au total, cela ne pesait que 150 à 300 livres.

R :                         Pouviez-vous déterminer le mode de propulsion de cet appareil ?

A :                         Oui, c’était quelque chose comme le truc gravitationnel de River. En fait, plus tard, j’ai obtenu le code mathématique pour se rappeler de la gravité sur une carte de 3x5 pouces. J’estime qu’il y a différentes sortes de Gris, et ainsi de suite.

R :                         Comment avez-vous vu ces preuves ?

A :                         Eh bien, à la – plus tard à S4, nous avons vu le film de l’autopsie. Et ensuite le colonel dit, « Ce que nous allons faire, c’est avoir une interview avec un aliène Gris ».

R :                         Très bien, là  tout de suite – que ressentiez-vous à ce moment ?

A :                         Eh bien j’ai pensé, mon gars, on n’avait aucune idée que nous allions voir la réalité – tout ce que nous avons vu était un film ! (rires)

R :                         Vous avez dû avoir le cœur qui s’emballe à ce moment-là.

A :                         Oui, mon patron a pu entrer et a eu – au moins un échange partiel avec lui.

R :                         Alors à quoi ressemblait cet aliène Gris ? Pouvez-vous en faire une petite description ?

A :                         Celui-là ressemblait un peu à un oriental.

R :                         Alors je me demande, s’il ressemblait à un humain, qu’est-ce qui ne semblait pas humain ?

A :                         Non, il ne ressemblait pas à un humain par sa couleur de peau, sa forme et sa dimension.

R :                         Quelle était la taille de sa tête comparée à celle d’un humain normal, par exemple ?

A :                         Le cerveau avait l’air d’être un peu plus grand, et le nez était très, très petit. Et les oreilles étaient comme des orifices. La bouche était très petite.

R :                         Maintenant pourquoi vous ont-ils amenés là, en fait ? Pour voir un aliène ? Quelle en était la raison ?

A :                         De revenir et de dire au Président ce qu’ils avaient accompli.

R :                         Donc  il ne savait pas à ce moment qu’il y avait un aliène à S4.

A :                         Non.

R :                         Qu’avez-vous fait ensuite dans la Zone 51- aviez-vous rempli votre mission ou aviez-vous autre chose à faire ?

A :                         Ouais, a priori on avait rempli notre mission, nous sommes revenus à la Zone 51, ils nous ont emmenés au bâtiment principal et là on nous a montré un U2, dont, évidemment, nous ignorions l’existence.  Et un modèle du SR-71.

R :                         Ouais, le Blackbird.

A :                         Donc – mais comme je l’indiquais auparavant, ce n’était pas un modèle du Blackbird de série, mais un modèle précédent.

R :                         Etes-vous revenus directement à Washington ?

A :                         Oui.

R :                         Ou êtes-vous allés ailleurs … Comment faisiez-vous – preniez-vous un vol régulier ?

A :                         Nous avons pris la navette aérienne vers la base, puis le Lockheed Electra du Président Eisenhower pour revenir à Washington.

R :                         Vous et votre supérieur – officier supérieur, et puis vous rencontrez le Président ?

A :                         Oui.

R :                         Pouvez-vous nous décrire la rencontre ?

A :                         Eh bien, nous l’avons rencontré au deuxième étage de l’ancien entrepôt de l’OSS. Et Eisenhower et Nixon étaient présents. Et également, Hoover était là. Alors il nous a demandé ce qui se passait, et nous l’avons informé à propos de l’aliène et de toute la situation. Et des projets secrets, et ainsi de suite. Et il était absolument choqué. Il a semblé préoccupé pour la première fois. Vous savez, comme s’il était soucieux.

R :                         Je pensais qu’Eisenhower serait – je veux dire qu’il savait certainement que les soucoupes volantes étaient réelles ; il savait qu’il y avait des aliènes, donc je me demande ce qui l’aurait vraiment surpris ?

A :                         Ah, surpris par les programmes secrets. Eisenhower dit, « il faut garder le secret à ce propos ». Vous savez, « On ne peut en parler ».

R :                         Votre vrai nom est – je veux parler du nom sous lequel vous avez grandi – c’était un nom différent de celui que vous utilisiez …

A :                         Oui, je ne l’ai jamais utilisé à la CIA du tout.

R :                         Alors et aujourd’hui ? Vous allez dans le domaine public, et ceci est toujours de l’information secrète, même si auparavant vous avez mentionné les serments de sécurité qui expirent après un certain nombre d’années …

A :                         50 ans, ouais.

R :                         … Mais vous êtes toujours préoccupé.

A :                         Coup de téléphone de Linda … - son téléphone mis sur écoute – et ils ont eu mon numéro par la société de téléphonie. Ils ont réussi à me trouver, et ainsi de suite.

R :                         Lorsqu’ils vous ont trouvé, que s’est-il passé ?

A :                         J’étais dans une épicerie. Deux gars en costume noir sortent d’une Lincoln Town noire. Et sont venus vers moi, et m’ont conseillé de ne rien publier et de ne plus parler de ces choses à Linda. Donc à ce moment-là, j’ai obéi. J’ai arrêté.

R :                         Cela a suffi pour vous intimider …

A :                         Oui. J’aimerais rester anonyme. Ne jamais montrer mon visage …

R :                         Vraiment, merci de le faire.

A :                         Oui, c’était en fait une bonne idée parce que je me sens mieux après en avoir parlé. Je me sens comme si je m’étais libéré d’un poids sur mes épaules.
R :                         Vraiment.

A :                         Parce que j’avais un énorme tas de secrets à garder durant toutes ces années.







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At midday on Friday 5 February, 2016 Julian Assange, John Jones QC, Melinda Taylor, Jennifer Robinson and Baltasar Garzon will be speaking at a press conference at the Frontline Club on the decision made by the UN Working Group on Arbitrary Detention on the Assange case.

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